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18/05/2016, 11h12 | (1) | |||||||||||
Raspberry and Plum
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Apprenez à les reconnaître
Le Rossignol philomèle (Luscinia megarhynchos) est difficile à voir. Notez le dessus brun chaud, la queue rousse (1) et la poitrine un peu plus sombre. Photographie : Noel Reynolds / Wikimedia Au printemps et en été, plusieurs "virtuoses" dans les arbustes et les arbres couverts de feuilles : ◾le Rossignol philomèle (Luscinia megarhynchos) est connu pour ses talents de chanteur, mais il est souvent caché dans la végétation. Il fréquente les grands jardins et les parcs au sous-bois riche. Il arrive en avril et repart en septembre. Son plumage est chocolat dessus et grisâtre dessous (avec une teinte chamois plus sombre sur la poitrine), et sa longue queue est roux vif. Son chant est fort, mélodieux, varié, composé de brèves strophes (trilles, sifflements crescendo) entrecoupées de pauses de même durée. Il peut chanter en pleine nuit. Gobemouche gris (Muscicapa striata) : notez (1) le front strié, (2) la poitrine finement striée, (3) le dos brun. Photographie : Marton Berntsen / Wikimedia Le Gobemouche gris (Muscicapa striata) est un oiseau discret, au plumage grisâtre dessus et blanchâtre dessous. Sa poitrine et son front sont finement striés de sombre. Ses pattes sont courtes et ses ailes sont longues. Il a un comportement typique de gobemouche : il est souvent perché sur un poste dégagé, se tenant assez droit, et hoche souvent la queue. Son chant n'est pas très spectaculaire ( il est composé de notes calmes, grinçantes, entrecoupées de trilles doux). Troglodyte mignon (Troglodytes troglodytes) : notez la couleur brun-roux et la petite queue dressée. Photographie : Andreas Trepte / Wikimedia Le Troglodyte mignon (Troglodytes troglodytes) est un tout petit oiseau brun, que l'on reconnaît à sa silhouette ronde et à sa petite queue dressée. Son chant est étonnement puissant pour sa taille : il est composé de sons métalliques et de trilles du type " zitiui-si-vi-si-vi-svi-sivi zuy-zuy-zuy-zuy si-zirrrrr sivi". Il le lance depuis une branche, souvent parmi les feuilles. Fauvette à tête noire (Sylvia atricapilla) mâle : notez (1) la calotte noire (elle est rousse chez la femelle, bien plus discrète). Photographie : Michael Apel / Wikimedia La Fauvette à tête noire (Sylvia atricapilla) est un oiseau souvent méconnu des parcs et des jardins. Il est globalement gris et le mâle a une calotte noire (rousse chez la femelle). C'est un excellent chanteur, qui se déplace constamment d'un poste de chant à un autre dans les arbres et les arbustes, ce qui le rend assez difficile à voir. Son chant est très beau, débute par un gazouillis et se termine par des sons flûtés, clairs et forts. Gobemouche noir (Ficedula hypoleuca) mâle. Photographie : Estormiz / Wikimedia Le Gobemouche noir (Ficedula hypoleuca) est un passereau peu connu et peu abondant que l'on peut observer dans les parcs et les grands jardins avec de vieux arbres. Le mâle en plumage nuptial est typique, noir et blanc, avec une zone blanche sur l'aile. Chez la femelle, le noir est remplacé par du brun (en automne, les deux sexes se ressemblent et sont tous deux brunâtres dessus et on peut les voir en migration dans des endroits variés). Le mâle chante dans les grands arbres en bougeant sans cesse. Son cri de contact est un "vik !" rapide, inlassablement répété. Son chant est mélodieux et comprend des répétitions. Loriot d'Europe (Oriolus oriolus) mâle. Photographie : Paco Gómez / Wikimedia Loriot d'Europe (Oriolus oriolus) femelle : notez le dessous strié. Photographie : J.M.Garg / Wikimedia Le Loriot d'Europe (Oriolus oriolus) est un superbe oiseau migrateur (il arrive en avril et repart dès le mois d'août) forestier et discret. Il fréquente certains grands parcs. Le mâle a un corps jaune vif avec des ailes noires, la femelle (et les jeunes mâles) a le dessus vert-jaune et le dessous blanchâtre finement strié. Le cri typique est un "viehh" rêche, rappelant un chat "en colère". Le chant du mâle est superbe, flûté, gai : "didelio !" Accenteur mouchet (Prunella modularis) : notez (1) le bec fin, (2) la tête grise, (3) le dos brun strié de sombre et (4) les flancs gris striés de brun. Photographie : Magnus Manske / Wikimedia L'Accenteur mouchet (Prunella modularis) ressemble superficiellement au Moineau domestique (Passer domesticus), mais son bec est plus fin, sa tête est grise et son dos est brun strié de noir. Il est solitaire et discret. Son chant est rapide, sonore, net, sans motif et uniforme : il l'émet souvent depuis une branche dégagée. Grive musicienne (Turdus philomelos) : notez le dessus brun clair et le dessous blanchâtre ponctué de sombre. Photographie : Michael Apel / Wikimedia La Grive musicienne (Turdus philomelos) fait partie de la même famille que le Merle noir. Son plumage est brun dessus et blanc tacheté de noir dessous. Son chant est également très musical et agréable. Il est plus varié, composé de motifs divers ("kuiklivi", "tixi", "truy", "pi-eh", ...) souvent répétés deux à quatre fois. Comme le Merle noir, elle chante depuis un endroit dégagé, parfois en pleine nuit. Rougequeue à front blanc (Phoenicurus phoenicurus) mâle adulte en plumage nuptial : notez le front blanc, la face noire et le dessus roux de la queue. Photographie : Thomas Kraft / Wikimedia Rougequeue à front blanc (Phoenicurus phoenicurus) femelle. Notez (1) la queue rousse, comme chez le mâle, et la posture droite. Photographie : Jerzy Strzelecki / Wikimedia Le Rougequeue à front blanc (Phoenicurus phoenicurus) est un beau passereau peu connu, qui passe souvent inaperçu car il est assez peu répandu, farouche et discret. Il peut fréquenter les parcs et les jardins avec de grands arbres. Le mâle adulte au printemps est bien coloré, avec un masque noir, une poitrine rouge orangé, le haut du front blanc, et une calotte et un dos gris cendré. La femelle est brune dessus, avec un dessous blanc beige, parfois teinté d'orange. Tous deux ont une queue rousse dessus qu'ils hochent souvent, comme le Rougequeue noir (Phoenicurus ochruros). Son cri de contact est un "huit" sifflant et montant . Son chant est bref, doux et mélancolique, commençant toujours de la même façon mais se terminant de façon variable Étourneau sansonnet (Sturnus vulgaris) adulte au printemps : notez (1) le bec jaune à base grise, (2), le plumage aux reflets métalliques vert et violet, (3) les petites taches claires sur le dos et (4) les pattes roses. Photographie : Marek Szczepanek / Wikimedia L'Étourneau sansonnet (Sturnus vulgaris) est un oiseau sombre, avec des reflets métalliques au printemps (ponctué de blanc en hiver), au bec jaune, qui marche au lieu de sautiller. Il pousse des cris divers, rauques et perçants ("tchuyur", "steeh", "kyett", ...). Il chante de préférence depuis un point dégagé (sommet d'un arbre, d'un bâtiment, sur une antenne, ...). Son chant est varié, composé de sifflements, de grincements et de très nombreuses imitations, qui sont parfois étonnement réussies. Hypolaïs polyglotte (Hippolais polyglotta). Notez (1) le dessus gris-brun uni, (2) les ailes plus courtes (courte projection primaire) que celles de l'Hypolaîs ictérine et (3) le dessous jaunâtre Photographie : François Lelièvre / Sa galerie sur Flickr L'Hypolaïs polyglotte (Hippolais polyglotta) est un oiseau peu connu des observateurs débutants, que l'on peut parfois trouver dans les parcs et les grands jardins. Elle arrive au printemps (avril) et repart en automne. Elle a une silhouette typique de fauvette. Le dessous est jaunâtre (plus ou moins vif) et le dessus est gris-brun. Son bec est assez long. Les plumes de sa calotte sont souvent dressées quand elle chante, formant alors une sorte de "dôme". Elle émet son chant depuis la végétation et est parfois assez difficile à voir. Son chant est agréable, puissant, varié, plus ou moins rapide, composé de strophes parfois un peu grinçantes, parfois mêlées d'imitations (rousserolles, moineaux...). Hypolaïs ictérine (Hippolais icterina). Notez (1) la zone claire sur l'aile (printemps), (2) les ailes longues et (3) le dessous jaune. Photographie : Artur Mikolajewski / Wikimedia Une espèce proche, l'Hypolaïs ictérine (Hippolais icterina), à l'aire de distribution plus orientale (elle est présente dans le nord-est de la France), lui ressemble beaucoup, mais il est assez difficile de distinguer ces deux espèces quand on manque d'expérience. Les principaux critères (en dehors du chant) pour les différencier sont la présence d’une zone pâle au printemps sur les rémiges tertiaires et secondaires et ses ailes fermées plus longues (projection primaire plus longue). Son chant est très varié et comprend plus d'imitations que celui de l'Hypolaïs polyglotte. Pouillot véloce (Phylloscopus collybita). Notez (1) les pattes sombres. Photographie : R. Altenkamp / Wikimedia Le Pouillot véloce (Phylloscopus collybita) est un petit passereau migrateur (il arrive en mars et repart en octobre), vert-brun, blanc et jaune, vif, remuant, que l'on peut observer dans les parcs et les grands jardins. Ses pattes sont sombres. Son cri est un "huit !" doux, souvent répété . Son chant est simple, typique, répété, un peu monotone, que l'on pourrait retranscrire par "tsip tsap tsip tsup" (il a été surnommé "compteur d'écus") . Pouillot fitis (Phylloscopus trochilus). Notez (1) les joues (parotiques) plus pâles que celles du Pouillot véloce, et (2) les pattes plus claires. Photographie : Steve Garvie / Wikimedia Une espèce très proche, le Pouillot fitis (Phylloscopus trochilus), peut aussi être vue au printemps dans les parcs et les grands jardins. Les risques de confusion avec le Pouillot véloce sont alors grands, mais il faut noter ses pattes plus claires (rose ou brun pâle et non noires ou gris-brun), ses sourcils jaunâtres plus nets, ses joues plus pâles sous l'oeil, ses ailes fermées plus longues. Sa voix est heureusement bien différente. Son cri est un "hu-it" dissylabique, doux et montant . Son chant est une strophe sifflée d'environ trois secondes, bien distincte, légèrement descendante et répétée. Pinson des arbres (Fringilla coelebs) mâle : notez (1) la zone blanche sur l'aile, (2) le ventre et le dos marron-rose et (3) la calotte et le cou gris. Photographie : Andreas Trepte / Wikimedia La femelle de Pinson des arbres (Fringilla coelebs) est beaucoup moins colorée que le mâle, mais sa zone claire (1) sur l'aile reste caractéristique. Photographie : François Lelièvre / Sa galerie sur Flickr Le Pinson des arbres (Fringilla coelebs) est commun. Le mâle est facile à reconnaître avec son dessous rouge brique, sa calotte gris-bleu et à sa double barre alaire blanche. La femelle est moins colorée, gris-verdâtre, mais elle possède aussi une double barre alaire pâle. Son cri, un "pink " net et décidé, est fréquent . Il pousse aussi des "huit !" . Le chant est typique, constant, répété, vif, sonore, débutant par trois ou quatre sons aigus suivis par une série similaire descendante et s'achevant par un thème "joyeux" Serin cini (Serinus serinus) mâle : notez (1) et (2) les fortes rayures sombres sur le dos et sur les flancs. Photographie : Ghislain38 / Wikimedia Le Serin cini (Serinus serinus) est un tout petit oiseau jaune-vert fortement strié de sombre, au printemps, on peut entendre son chant typique, rapide, "frénétique", grinçant, lancé depuis un perchoir dégagé ou en vol . Son cri typique est un trille aigu "zirrl". Chardonneret... élégant (Carduelis carduelis) Avec son chant très mélodieux et son plumage coloré (tête noire et rouge, ailes jaunes et noires, dos brun clair, poitrine et ventre blanc et beige), le chardonneret élégant (Carduelis carduelis), espèce protégée, compte parmi les oiseaux les plus remarqués dans nos jardins. Vergers, jardins, parcs, zones cultivées et limites de villes avec des arbres fruitiers : le chardonneret apprécie les espaces transformés par l'homme. Il se nourrit de graines en voletant d'une plante à l'autre (chardon et autres plantes de la famille des Asteracées -d'où l'intérêt de laisser grainer et sécher quelques inflorescences dans vos massifs, véritable garde-manger hivernal, mais aussi bouleau, aulne, platane, conifères), et ajoute à l'occasion quelques insectes à son menu ; on peut aussi l'observer à la mangeoire. Il établit son nid dans les arbres, parfois dans les haies. Merle noir (Turdus merula) Chez le merle noir (Turdus merula), seul le mâle est entièrement noir, avec le bec et le contour de l'oeil jaune orangé. La femelle (familièrement appelée merlette) est brune, avec la poitrine et la gorge plus claire. Son chant est mélodieux lorsqu'il est lancé d'un perchoir. Le merle noir vit dans les zones boisées ou arbustives, les cultures, les haies, les jardins, mais aussi en zone urbaine, et installe son nid dans les arbustes feuillus et les bosquets. Il se nourrit sur le sol, où il effectue des série de sauts courts en courant pour rechercher insectes, araignées, vers de terre, mais aussi graines, baies et fruits. Il vole généralement bas et sur de courtes distances. Rouge-gorge (Erithacus rubecula) Le rouge-gorge familier (Erithacus rubecula) se reconnaît au premier coup d'oeil à sa gorge et sa face rouge orangé, contrastant avec le ventre clair , le dos, les ailes et la queue sont brun olivâtre. On le rencontre dans les lieux boisés, les taillis, les parcs et les jardins, aussi bien à la campagne qu'en ville. Il vole bas, souvent sous un couvert végétal. Le rouge-gorge est agressif, notamment entre individus mâles (les combats sont fréquents). Il se nourrit d'insectes, de petits invertébrés, de baies et de fruits, de petites graines... En hiver, il sera très présent à la mangeoire, d'autant qu'il s'approche sans problème des habitations. Verdier d'Europe (Chloris chloris) mâle : notez (1) le bec massif et conique, (2) la teinte générale jaune-vert et (3) la zone jaune sur l'aile. Photographie : François Lelièvre Le verdier (Chloris chloris) est un oiseau trapu et plutôt rond, identifiable à la couleur jaune de sa poitrine et de son abdomen, aux bandes jaune vif sur le bord de ses ailes, à son dos brun clair, ses ailes grises et sa tête vert olive. Son bec est conique, large et puissant. La femelle est plus terne que le mâle. Il vit en lisière de forêt, dans les broussailles, les buissons, les vastes haies ; on le rencontre dans les parcs et les jardins. Le verdier nidifie dans la végétation (petits arbres, arbustes persistants, lierre courant sur un mur...) et se nourrit de grosses graines, d'insectes, de fruits et de baies. A la mangeoire, il apprécie les graines de tournesol (celui à graines noires plutôt que striées, plus riche en acides gras intéressants), qu'il casse sans peine avec son solide bec. Bergeronnette grise (Motacilla alba) : notez la très longue queue. Photographie : Artur Mikolajewski / Wikimedia La bergeronnette grise (Motacilla alba) est un oiseau assez connu, aussi peu discret qu'effronté, facile à identifier, tout en contrastes de gris, noir et blanc, surtout chez le mâle. Le haut de la tête, la nuque, les ailes, la gorge et le jabot sont noir. Le masque est blanc, de même que le ventre, le manteau est gris, et les ailes, grises et blanches. La femelle offre moins de zones noires, remplacé par du gris. Contrairement aux autres oiseaux cités jusqu'ici, vous ne verrez pas la bergeronnette grise à la mangeoire, car elle se nourrit exclusivement d'insectes, capturés au sol, en vol ou à la surface de l'eau. Elle est cependant bien présente dans les jardins, les parcs, le long des routes ou dans les prés (elle aime les zones dégagées et la proximité de l'eau). Elle se pose souvent sur les bâtiments et peut même y entrer lors d'hivers rigoureux, à la recherche de chaleur. Elle nidifie dans des anfractuosités : contre une falaise, un bâtiment, ou même au sol ; elle ne dédaigne pas non plus de s'installer dans un nid abandonné. A noter que la bergeronnette grise est un migrateur partiel : elle peut choisir de passer l'hiver dans le Sud de la France, en Espagne ou au Maroc, ou rester sur place. Geai des chênes (Garrulus glandarius). Notez (1) le corps neige-rosé, (2) le croupion blanc contrastant avec la queue noire et (3) le poignet bleu et noir. Photographie : Vogelartinfo / Wikimedia Le Geai des chênes (Garrulus glandarius) est un beau Corvidé forestier beige, blanc, noir et bleu, qui visite parfois les grands jardins et les parcs. Ses cris sont des "kcheech" rauques, typiques, perçants qui servent de signaux d'alarme pour les autres animaux de la forêt. Moineau domestique (Passer domesticus) mâle en plumage d'hiver : notez les zones rousses sur la calotte et le dos, et la petite bavette noire. Photographie : François Lelièvre / Sa galerie sur Flickr Moineau domestique (Passer domesticus) femelle : Elle est d'une teinte plus claire et plus uniforme que le mâle. Photographie : François Lelièvre / Sa galerie sur Flickr Le Moineau domestique (Passer domesticus) : c'est un passereau bien connu et familier. Il est globalement brun et gris, son bec est conique, et il est généralement vu en groupes. Le mâle est plus coloré que la femelle, avec du roux sur la calotte et le dos, tandis que la femelle est plus pâle, d'un beige uniforme. Moineau friquet (Passer montanus) : notez (1) la calotte chocolat, (2) la petite bavette noire et (3) la joue blanche avec une tache noire. Photographie : Jean-Pascal Weber Le Moineau friquet (Passer montanus) est une espèce proche et moins commune, que l'on observe parfois près des maisons et dans les jardins. Il se distingue du mâle du Moineau domestique par sa taille inférieure, sa gorge noire plus petite et surtout sa tache noire sur la joue blanche (et non pas grise). Les deux sexes ont le même plumage. Sa voix est assez semblable à celle du Moineau domestique, mais il lance aussi un "tsouvitt" nasillard. Mésange bleue (Cyanistes caeruleus) : notez la calotte bleue. Photographie : Maximilian Dorsch / wikipedia La Mésange bleue (Cyanistes caeruleus) : c'est un petit oiseau très facile à reconnaître, avec son dessous jaune et sa calotte bleue. C'est généralement l'oiseau le plus fréquent sur les mangeoires. La Mésange bleue est très vive et remuante. Elle pousse souvent des trilles et des cris de contact aigus. C'est une acrobate qui n'hésite pas à se suspendre la tête en bas pour manger. Elle adore les graines de tournesol, et il est amusant de la voir prendre une graine, l'emporter sur une branche pour la manger puis revenir en chercher une autre. Quand elles sont nombreuses, cela devient un vrai ballet aérien . Mésange charbonnière (Parus major) : notez la calotte noire, les joues blanches, et la cravate noire. Photographie : François Lelièvre / Sa galerie sur Flickr La Mésange charbonnière (Parus major) : elle ressemble superficiellement à la Mésange bleue, mais elle est un peu plus grande, sa tête est noire avec des joues blanches, et elle a une "cravate" noire qui se détache sur le dessous jaune. Elle est souvent moins commune et plus "calme" que la Mésange bleue. Elle raffole aussi des graines de tournesol.
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Si vous avez des anecdotes, des suivis d'élevage, des histoires sur les oiseaux pourquoi ne pas les partager avec nous. Amicalement vôtre Dernière modification par maloute45 ; 22/05/2016 à 21h02. |
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18/05/2016, 11h46 | (2) | ||||||||||
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très instructif merci a toi
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18/05/2016, 22h04 | (3) | |||||||||
DICK1
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slt merci super photos
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19/05/2016, 21h38 | (4) | |||||||||
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merci ! je ferais plus attention à ce que je regarde maintenant
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20/05/2016, 19h59 | (5) | ||||||||||||
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très bonne révision! merci Leon
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PASSION ET PROFIT SONT, POUR MOI, INCOMPATIBLES. Les élever, et au mieux, en essayant de partiellement combler le gouffre financier ainsi créé pour notre plaisir à les faire naitre, et les regarder vivre, les voir gagner en concours, par leur beauté NATURELLE, devrait être notre seul but... UNE BONNE SAISON DE CONCOURS 2024 SE TERMINE, PLUS QUE LE MONDIAL AU PORTUGAL ... Avec APDC RESTONS SEREIN,... |
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