Les différentes races de canaris de posture

[FREDDIE]

CANARI DE POSTURE HELVETIQUE...LE BERNER OU BERNOIS

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Voir lien = www.youtube.com/watch?v=jNJEdZP7-kE

Ce canari d'origine Suisse (Berne) est à plumage lisse.
Son origine remonterai à la fin du XIXe siècle et début du XXe siècle.

Aucun documents expliquent pleinement sa création, mais on pense avoir été créé en Suisse
à la fin du XIXe siècle, en particulier son origine est définie en 1880, dans un quartier
de Thoune dans l'Oberland bernois, son principal créateur était connu comme Monsieur M. Wyss

Il semblerait que cette race provienne d'un croisement entre un vieux canari non identifié
grandi en Suisse et le Yorkshire Ancien type anglais.
L'idée était de réaliser une grande position verticale .

En 1910, les premiers spécimens ont été exposés à Berne, une ville d'où vient son nom
et a fondé les «Bernois Club" Initialement appelé
"Verein Schweizerischer Bernerrkanarien-Züchter"
et on établi également le premier standard de cette race extraordinaire.

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Le Bernois est une variété de Posture qui a été reconnue
par la COM en 1961

Depuis sa création, peu sont les changements qui sont survenus dans sa norme,
le dernier accord en Avril 2010, qui modifie sa taille qui va de 16 cm à 16,5 cm,
lors de la réunion des juges COM Posture qui s'est tenue à Palaiseau-Paris (France).

Les efforts d'un groupe d'éleveurs passionnés au cours des 15 dernières années
ont permis d'améliorer la diffusion et la qualité de cette race, qui avait disparu
de presque toutes les expositions et les concours européens.
Le nombre d'éleveurs est en augmentation dans tous les pays et commencent
déjà à voir de tout bons exemplaires de qualité dans les diverses expositions.

[CANARISDU60]

belle oiseaux

[FREDDIE]

FONIO PADDY* UNE GRAINE MIRACLE ? -
Auteur Didier FAESSEL, juge CNJF section Canaris de Posture.

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Au début du mois de JUIN 2001, j’ai lu avec un très grand intérêt, dans une revue ornithologique allemande, un article émanant d’un éleveur et concernant l’utilisation de la graine FONIOPADDY.


D’après son récit, il aurait entendu parler de cette graine lors d’une exposition en Hollande en fin d’année 2000.
Cette graine serait en fait une semence sauvage originaire d’Afrique et plus précisément de l’Ouganda.
C’est un importateur hollandais, que j’ai eu l’occasion de rencontrer en NOVEMBRE 2001 lors de l’exposition Internationale IPOS à LORRACH en Allemagne, qui a découvert tout à fait par hasard cette graine aux vertus particulières.

En fait, alors que ses employés ougandais venaient de capturer divers espèces de granivores africains et que lui-même était en déplacement, les graines habituellement utilisées faisaient défaut.
Les employés n’ont eu d’autres solutions que de ramasser des graminées et semences sauvages afin de les nourrir.
A la surprise générale, tous les oiseaux y compris ceux atteints visiblement de COCCIDIOSE étaient en pleine forme au bout d’à peine une semaine d’utilisation.
En fait, la vertu principale du FONIO PADDY est de prévenir mais surtout de guérir les oiseaux atteints de COCCIDIOSE.

Durant trois longues années cette graine fût plantée par l’importateur hollandais et analysée par les autorités vétérinaires en Ouganda.
Pendant cette période, une analyse hebdomadaire des fientes de l’ensemble des oiseaux capturés fût diligentée.
D’après les déclarations desdites autorités vétérinaires, les résultats étaient époustouflants !

Après à peine une semaine d’utilisation du FONIOPADDY, toute trace de coccidiose dans les fientes avait disparu !
De même, les oiseaux visiblement sains mais ayant été en contact avec des oiseaux malades, n’avaient pas développé cette maladie !
D’après les essais effectués, cette semence de couleur brun clair qui est fine est très petite doit être donnée 2 à 3 fois par semaine à raison de 5 à 7 grammes par oiseau.

Etant d’un naturel plutôt sceptique mais ayant pu avoir l’opportunité d’acquérir dès le mois de JUIN 2001 directement auprès de cet importateur hollandais 2 kilogrammes de cette graine, j’ai voulu en tenter l’expérience et la donner à mes canaris de posture.
S’agissant d’une semence sauvage, je ne craignais pas de perdre mes oiseaux en raison d’un éventuel surdosage de ma part.
A sa réception, j’ai immédiatement, selon les indications communiquées, distribué cette graine à mes oiseaux dans des mangeoires séparées.
En effet, de part sa taille et son poids, si elle était ajoutée au mélange de graines traditionnel, elle ne tarderait pas à se trouver au fond de la mangeoire et les oiseaux ne pourraient la manger.

Aussitôt, mes canaris de posture en ont véritablement fait un festin et en moins d’une demi journée l’ensemble des mangeoires contenant du FONIO PADDY étaient vides !
Au bout de quelques jours, j’ai pu constater qu’un certain nombre de mes oiseaux et tout particulièrement les plus âgés et ceux semblant malades et que je ne pouvais me résoudre à euthanasier, avaient des fientes légèrement plus liquides que les autres.
En fait, au bout de quelques jours d’attentes supplémentaires tous les oiseaux avaient recouvré une excellente santé, y compris les plus âgés et les « malades ».

Depuis, mes oiseaux ont des fientes biens formées et de bonne consistance sans trace de diarrhée ou de constipation.
Tous les oiseaux nouvellement acquis ont également été soumis à ce « traitement » et ont présenté au bout d’une semaine les mêmes symptômes que décrits plus haut mais ont très vite récupéré.
Afin d’être sûr que le FONIOPADDY soit mangé par tous les oiseaux j’ai décidé de mélanger les semences à ma pâtée légèrement humidifiée.
Pour ma part, et après six mois d’utilisation de cette graine je n’y vois que des avantages et surtout l’état de santé de mes oiseaux s’est visiblement amélioré et je n’ai pas perdu un seul oiseau atteint par la coccidiose !

D’après des éleveurs allemands qui utilisent cette semence depuis plus d’une année et avec lesquels j’ai pu m’entretenir, les résultats en matière de reproduction semblent être tout à fait spectaculaires.
En effet, les risques de diarrhées des jeunes au nid étant écartés, leur développement rapide fait plaisir à voir.
A voir certains éleveurs de canaris donner à leurs oiseaux avant la saison d’élevage une « cure » d’antibiotiques pour éviter la coccidiose, mais également, par la suite, être obligé de leur apporter des complexes multi-vitaminés afin de contre-balancer les effets secondaires de cette utilisation ; alors qu’il nous est possible en utilisant une semence naturelle et sauvage n’ayant subi aucun traitement d’éviter tous ces désagréments !
Je dois avouer que j’ai été, tout comme les autres utilisateurs du FONIO PADDY, véritablement stupéfait par ses effets sur l’état de santé de mes canaris de posture.


Bien entendu, FONIO PADDY n’est pas réservé qu’aux seuls canaris mais également à tous les autres granivores et tout particulièrement ceux plus sensibles au développement de la coccidiose.
A présent que l’effet de cette semence semblait être prouvé , il serait à peu près certain que d’autres éleveurs allaient me solliciter en vue d’en acheter
En raison des frais de timbres très importants pour les colis postaux entre la Hollande et la France il était urgent de trouver un grainetier français.
Il semble que depuis peu quelques grossistes français semblent vouloir commercialiser cette semence.

Pour ce qui est de son utilisation, je distribue le FONIOPADDY systématiquement tous les jours et ce tout au long de l’année, mélangée à une excellente pâtée légèrement humidifiée à raison d’une valeur d’un pot de yoghourt pour environ un kilo de pâtée.
Dès que je remarque qu’un oiseau est légèrement malade ( somnolent, plumes ébouriffées, etc… ) je n’hésite pas à doubler cette dose voire même à donner la semence pure dans un petit godet en lieu et place des graines et de la pâtée.
S’il la mange, tant mieux, par contre s’il la refuse, je la mélange à forte dose ( deux tiers) à la pâtée ou aux graines (un tiers).
De même, en période de reproduction, je n’hésite à augmenter sensiblement la part du FONIO PADDY.
En période de repos, alors que la distribution de pâtée n’a plus lieu d’être, je présente la semence pure dans de petits godets dans les cages de vols ou volières et ce à raison d’environ une cuillère à café par jour et pour une vingtaine d’oiseaux.

Ce qui prouve bien qu’il n’est pas nécessaire d’acheter une grosse quantité de cette semence.
Pour ma part, j’en utilise en moyenne de kilogrammes pour environ 200 oiseaux sur une période de six mois.
De même, j’ai remarqué qu’en distribuant à petite dose du charbon de bois en poudre à mes canaris, ceux-ci ne présentaient plus la légère diarrhée que j’avais notée en début de période d’utilisation de la semence.
En tous les cas, il n’y a aucunement lieu de modifier quoi que ce soit d’autre dans le régime des oiseaux
Pour ma part depuis que j’utilise le FONIOPADDY je n’ai plus perdu aucun oiseau par maladie.

Bien entendu, cela ne nous autorise pas à relâcher la vigilance et il faut impérativement veiller à l’hygiène parfaite de la pièce d’élevage et à apporter tous les soins nécessaires à nos oiseaux que nous aimons tant.

Didier FAESSEL,

Juge CNJF section Canaris de Posture,

2 rue des Hirondelles 67116 REICHSTETT

Téléphone, fax et répondeur: 03 88 33 91 27

e-mail : didier.faessel@libertysurf.fr

[FREDDIE]

CANARI D'OLOMOUC

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Standard du Canari d'Olomouc - Made in Czech Republic
Race refusée le 20 janvier 2013 par la C.O.M.

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La forme huppée

Huppe = 20 points -

Le type "allemand"(ovoïde) sans point central, avec une ligne médiane ou son imitation vers la base du bec.
Les yeux ne peuvent pas être cachés, et ne pas comporter de taches lipochrome
La huppe brune est recherchée.

Dessin sur le dos = 15 points

Le grand liséré blanc qui commence et s'étend à l'arrière où il forme une tache blanche typique.

Plumage = 15 points

Assez serré, très riche cependant long ou frisé.

Poitrine et côtés = 15 points

Le dessin de la poitrine est important, avec "rowings" à la forme de points ou de lignes

Couleur = 10 points

Le lipochrome avec la mélanine brune dans un bon équilibre, sans qu'un seul domine.

Ailes et queue = 10 points

Pas de pièces blanches des plumes individuelles, sans ailes croisées et avec un clair "V"
dans la queue.

Bec et pattes = 5 points

Aucune déformation apparente, la même couleur que chez les canaris buns, avec la corne saine.

Forme et taille = 5 points

Avec la forme du corps ressemblant plutôt à un lizard,et non au canari de couleur.
Taille de 14 à 14,5cm., harmonieux.

Condition générale = 5 points

Entraîné la cage, plumage pur et intact, sans vices cachés ni maladies.

La forme à tête lisse (non huppé)

Tête = 20 points

Sans liséré visible autour des yeux, sur le sommet du crâne on demande un grand liseré (cap)

Toutes les autres caractéristiques et le comptage des points, idem, que pour la forme huppée !

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Conformément aux régies en vigueurs, les "canaris d'Olomouc" ont été présentés
le 20 janvier 2013 à un jury composé de cinq juges experts de nationalités différentes.

Après examens de ces oiseaux, le jury a déclaré, à l'unanimité que ce type de canaris
ne présente aucun intérêt pour la canariculture car ils ne sont que des lizards bruns huppés !

En conséquence le "canari d'Olomouc" ne peut pas être reconnu par la C.O.M.

[FREDDIE]

UN NOUVEAU EXTERMINATEUR CONTRE LES PARASITES

"LES DUTCH'YS"

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Les "Dutchy's" sont une sorte "d'acariens" de la famille des Laelapidae et se trouvent dans la nature dans une grande partie de l'Europe.

Ils vivent dans la terre et chassent divers organismes souterrains.
Lorsqu'on les placent dans un élevage d'animaux,ils deviennent les exterminateurs entre autre des "poux rouges" et des "poux noirs".

Ils les chassent à longueur de journée,les tuent et les mangent.
C'est une question de temps,mais les "Dutchy's" s'en sortent toujours gagnants !!!

Les Dutchy's font +/- 1mm,ils ont un corps en forme de goutte de couleur claire et sont très mobiles.
Ils se nourrissent de bons nombre d'organismes comme des larves de moustiques et différents acariens comme les puces et les poux.
Ils pondent généralement leurs oeufs dans le sol ou dans un endroit approprié.
Après quelques jours les larves éclosent et deviennent finalement après plusieurs étapes des "acariens" adultes.

Ces "exterminateurs" mangent en moyenne 5 poux par jour,lorsqu'on les emploie à temps,ils empêcheront souvent le développement d'un fléau.
Ils sont également capables de venir à bout d'une véritable invasion mais devront alors être employés en plus grande quantité.

Lorsque vous aurez placé des "Dutchy's" dans vos élevages,il se peut qu'aux débuts,après quelques jours,vous découvriez encore plus de poux,ceci est dù au fait que les poux sont pourchassés hors de leurs cachettes par les Dutchy's et que le fléau était plus étendu que vous ne le pensiez de prime abord.

En principe,les Dutchy's viendront à bout du fléau pour autant que vous leur en laissiez le temps et qu'ils soient en nombre suffisant.
Les Dutchy's vont continuer inlassablement à poursuivre les poux pour les manger ce qui fait qu'après un certain temps vous n'en verrez plus !

Les Dutchy's sont capables de faire face à une période de jeûne seulement alors ils ne se reproduiront plus.
Ils se mangeront alors entre eux si nécessaire mais n'attaquerons jamais nos animaux,ils en sont incapables car ils n'ont pas d'appendice en forme d'aiguille comme les poux.
Si la famine continue trop longtemps,les quelques survivants mourront après quelques semaines.
Un Dutchy's adulte vit environ 6 semaines.

Les Dutchy's vivent de préférence dans une température entre 15 et 25°C;
Lorsque la température descend ou monte hors de ces valeurs,ils se mettent au repos (en hibernation) et attendent tranquillement que les conditions soient meilleures pour repartir en chasse.
(S'ils sont exposés au gel,la plupart mourra sûrement).

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Lors de la livraison,ils sont conditionnés dans un flacon en plastique avec une certaine quantité de "*substrat" d'épandage.
Il existe dans le commerce spécialisé des flacons de 2500 unités (10 doses),5000 unités (20 doses) et 10 000 unités (40 doses).

(*)
Lorsque vous observez ce "substrat" à la loupe,vous voyez bouger les Dutchy's entre les grains,le but est de verser ce substrat en petits tas à des endroits critiques de vos installations d'élevage.

Pendant les deux premières semaines,des Dutchy's reviendront journellement dans leur petit tas pour se rencontrer et s'accoupler.

D'ailleurs,le substrat contient des oeufs et des larves qui écloreront et se développeront,c'est pourquoi il est important que le substrat reste en place durant quelques semaines et reste humide (employez éventuellement des "petits tapis" que vous humidifierez tous les 2/3 jours).

[FREDDIE]

CONSEILS D'UTILISATION DES ANTIBIOTIQUES

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Copyright © -
Tout d'abord, je voudrais vous dire que j'utilise rarement des médicaments.
Je préfère laisser la nature effectuer sa sélection naturelle.
Il vaut mieux conserver des oiseaux naturellement résistants plutôt que des sujets fragiles.
On peut comprendre le désir de certains éleveurs de vouloir protéger des reproducteurs de variétés rares ou de grande valeur.
Ce petit billet est donc fait pour les aider à mieux soigner leurs pensionnaires.

Quand un oiseau est malade il vaut mieux tout d'abord l'isoler afin d'éviter la transmission de la maladie à tout l'élevage, puis le laisser se remettre tout seul de cette affection ou l'aider à passer un cap difficile à l'aide d'antibiotiques.

Les produits les plus fréquemment utilisés par les éleveurs amateurs sont les antibiotiques

- Inconvénients des antibiotiques à diluer dans l'eau de boisson :

- On estime seulement la quantité d'eau que va boire l'oiseau.
Celui qui n'est pas en forme n'aura probablement pas une dose suffisante.

- Si le temps est clément, certains abreuvoirs se retrouvent au soleil certaines heures de la journée.
L'antibiotique va se dénaturer et perdre son action contre les bactéries.
(Par exemple, les éleveurs peuvent remarquer que l'érythromycine " noircit " lorsqu'elle passe une journée à la lumière.)

- Un autre risque est un surdosage possible par temps chaud, puisque les oiseaux sont susceptibles de boire plus que lors d'une journée " normale ".

Un abreuvoir même bien lavé régulièrement reste un milieu propice aux bactéries ; il est dans un milieu extérieur, susceptible d'être souillé par des déjections de fientes.
Il faut donc changer l'eau très régulièrement.

L'hygiène permet d'éviter bien des soucis.

Plus il y a de bactéries dans l'eau et plus on aura de chance (ou plutôt de malchance !) de trouver des bactéries mutantes naturellement qui résisteront à l'antibiotique.

Les antibiotiques que l'on dilue dans l'eau vont passer logiquement par le tube digestif des oiseaux.
Une partie sera absorbée mais une grande partie sera éliminée dans les fientes.
Il y a donc une perte d'antibiotiques importante à ce niveau.
En passant dans l'intestin, ces antibiotiques auront tendance à détruire la flore intestinale " normale " des oiseaux pour sélectionner par le vide des bactéries qui seront résistantes aux antibiotiques.
Ces bactéries survivantes vont se multiplier pour recoloniser les intestins et vont garder
des propriétés de résistance vis-à-vis de l'antibiotique.
Ces bactéries sont rejetées par milliards dans les fientes naturellement.
Elles se retrouvent donc sur le sol des cages ou des volières.
Nos oiseaux seront par conséquent en contact avec des bactéries résistantes aux antibiotiques. Ce qui augmente le risque de rencontrer une résistance au traitement si un autre problème se rencontre par la suite.

Pour les éleveurs qui désirent donner des antibiotiques par voie orale, on ne peut que leur conseiller d'envoyer dans le bec de l'oiseau a l'aide d'une petite seringue sans aiguille la dose d'antibiotique adaptée au poids de ce dernier dilué dans un faible volume d'eau.
On évitera ainsi un gaspillage de produit au niveau des abreuvoirs.

Une autre méthode de prophylaxie évitant bien des problèmes serait de changer et de brûler très régulièrement la litière de " l'infirmerie " où ont séjourné les oiseaux malades.
Toujours pour éviter une transmission par les fientes de germes pathogènes.

Le bon sens dit aussi de s'occuper des oiseaux malades après les autres non atteintes par un problème sanitaire.

En traitant les infirmes en dernier, on limite la dissémination d'agents microbiens a condition de se laver les mains correctement avec un savon neutre ou de Marseille.

En conclusion :

Beaucoup de gens croient que le traitement préventif avec des antibiotiques est une bonne chose.
Ceci peut se comprendre si l'on possède des oiseaux de valeur ou des coups de cœur...
Mais si des antibiotiques sont administrés sans symptômes, il y a un grand risque d'élever non seulement des oiseaux avec des systèmes immunitaires plus faibles, mais aussi de rencontrer des germes résistants aux traitements antibiotiques usuels.
Il faut limiter l'utilisation d'antibiotiques et surtout, mieux les utiliser afin de réduire l'apparition de microbes résistants.

Les laboratoires de recherche ne trouvent plus véritablement de grandes familles d'antibiotiques depuis une quinzaine d'année.
Les " nouveaux antibiotiques " qui apparaissent ne sont que des variantes de produits déjà connus.
La gamme d'antibiotiques disponibles est donc limitée et si l'on n'y prend pas garde, on risque de se retrouver avec des germes contre lesquels on n'aura aucun traitement efficace.
Le système idéal pour combattre les maladies les plus fréquentes rencontrées dans les élevages amateurs serait la vaccination.
La vaccination permet de stimuler les défenses naturelles des oiseaux sans avoir recours aux antibiotiques.
Le problème actuel reste le prix des vaccins et les conditionnements .

C'est donc une raison de santé publique qui doit désormais très rapidement inciter les pouvoirs publics à tout faire pour que les milliers d'éleveurs de races souvent rares, qui sont les acteurs de la sauvegarde de la biodiversité, puissent disposer de vaccins plus facilement.
Il est désormais nécessaire que les pouvoirs publics s'attachent aussi vite que possible à résoudre ce problème pour limiter les antibio-résistances et assurer la santé de toutes espèces d'oiseaux.
Les solutions sont simples pour une fois….alors il faut agir rapidement -Copyright ©

[FREDDIE]

Maloute45 a lu pour vous : BI - POUX (uniquement pour information)

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Traitement contre les poux rouges (Dermanyssus gallinae) des oiseaux (poules, canaris, pigeons...) à base de bicarbonate et de silice.

Du nouveau du coté des poudres minérales: flacons poudreurs Bi-Poux 500® g, Bi-Poux® 100 g, et seaux Bi-Poux® 2 kg et Bi-Poux® 5kg

Les poux rouges des poules et des oiseaux, LE fléau des élevages!
Le pou rouge... Le parasite le plus nuisible des volières

De l’avis unanime des éleveurs, le pou rouge (Dermanyssus gallinae) est aujourd’hui le parasite externe le plus nuisible des volières, des pigeonniers et des poulaillers.
Qu'il s'agisse d'oiseaux d'ornements, de petits élevages d'amateurs passionnés ou d'élevages de professionnels de poules pondeuses, de faisans ou de cailles, il est très rare de ne pas avoir été contaminé par ce parasite.

On considère que 70 à 80 % des élevages professionnels de poules pondeuses sont touchés plus ou moins sévèrement.
La conséquence est une baisse considérablement des pontes et même la mort par épuisement des poules dans les cas les plus graves.

Malheureusement, aucun oiseau n'est jamais complètement à l'abri des poux rouges.
Ils peuvent être introduits dans la cage, la volière ou le poulailler par un nouvel arrivant, par un nouvel objet, et même... par l'éleveur lui-même.
Le pou rouge peut séjourner temporairement sur l'homme et même sur les autres mammifères comme le rat ou le chien !
Cependant, il semblerait que ce parasite soit rarement amené par des oiseaux sauvages (par exemple par un nid de moineaux ou de pigeons à proximité), car des études de l'ITAVI (Sophie Lubac, une des grandes spécialistes en France) ont mis en évidence que les souches sont différentes.

poux_rouge_proelevage.jpgUn ennemi redoutable

Les éleveurs d'oiseaux amateurs (poules, pigeons, serins, perruches...) rencontrent aussi très souvent ce parasite.
Et il est très difficile de s'en débarrasser.
Le pou rouge est un acarien de 0,5 mm à 1 mm de long qualifié d'ectoparasite intermittent, ce qui signifie qu'il ne vit pas en permanence sur son hôte et qu'il ne le "visite" que pour se nourrir. Les poux rouges font la navette jusqu'à 8 à 10 fois par jour entre leur refuge (n'importe quelle anfractuosité possible, espace entre deux plaques, fissure dans le bois, interstice entre deux planches, à un angle de la construction...) et sa victime.
Ils ne resteront qu'une à deux heures sur l'oiseau pour se gorger de sang, ce qui fera passer leur couleur du gris au rouge vif, puis plus tard au rouge sombre presque noir lorsque la digestion sera terminée.

Les nuisances du pou rouge ne s'arrêtent pas là : il est maintenant établi que les piqûres transmettent de nombreuses pathologies via le sang... et même lorsque une volière ou un poulailler touché par une épidémie sont vidés et nettoyés, il suffit que des poux rouges ressortent de leur cachette après l'introduction de nouveaux oiseaux, pour qu'ils soient contaminés par les germes des oiseaux qui les ont précédés !

Le pou rouge se reproduit très vite : une femelle peut pondre 100 à 200 oeufs par semaine, et le cycle complet (de la ponte de l'oeuf, puis à son éclosion et jusqu'à l'état d'adulte reproducteur) peut ne pas excéder une semaine dans des conditions de température et d'humidité favorables. En plus de cela, il est aussi exceptionnellement résistant : si la température et l'hygrométrie (humidité) viennent à baisser, ou si la nourriture vient à manquer, les poux rouges peuvent "hiberner" jusqu'à 8 mois sans se nourrir.
Ils sont même capables de survivre en prélevant les protéines nécessaire dans les fientes, les plumes et la poussière.

Le tableau est à peu près complet : l'ennemi est redoutable, il va falloir s'armer de courage et de patience !

Comment détecter la présence des poux rouges sur vos oiseaux ?

Si vous constatez ces symptômes:

Vos oiseaux dépérissent et semblent épuisés ?
Une mortalité inhabituelle touche vos couvées ?
Les oeufs comportent des petites tâches rouges ?

Alors, il est probable que votre élevage est infesté.

Mais pour en être certain, faites ce simple test:

Accrochez une morceau de papier absorbant ou un chiffon blancs en boule à proximité des oiseaux... attendez quelques jours et dépliez-le.
S'il y a des parasites dans votre élevage, ils se seront installés en priorité dans les plis.

Mais rien n'est perdu... quelques règles de prévention permettent d'éviter ce fléau, et de le traiter lorsque on en est malheureusement affligé.
Les conseils qui suivent vous aideront à faire le point et à bâtir votre plan de bataille !
Un moyen efficace pour combattre les Poux Rouges
Un nouveau concept: les poudres minérales

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Nos poudres minérales Bi-Poux® - disponibles en Flacon de 500g, en Flacon de 100 g, en Seaux de 2 kg et en Seaux de 5 kg - piègent les poux sans nuire aux oiseaux ou aux éleveurs.
Elles ne contiennent pas d'insecticides neurotoxiques et ne provoquent pas de résistance des parasites.
Leur efficacité contre les poux rouges est donc constante dans le
temps.

Elles immobilisent les parasites et les déshydratent.
Nos tests réalisés en laboratoire le montrent clairement...
Ce sont les poudres minérales les plus efficaces disponibles actuellement.
Elles ont fait l'objet de plusieurs brevets internationaux.

Leur efficacité va dépendre de la qualité de leur application et de la propreté
des supports. Quelque soit le produit de traitement, il faut savoir que la poussière, les plumes et les fientes sont les alliées des poux rouges...
Les surfaces doivent donc être les plus propres possibles.

Comment appliquer cette poudre minérale ?

Voici ce que vous devez faire dès que vous avez vos flacons de Bi-Poux®:

Si votre volière ou votre poulailler est très lourdement infesté (ce qui se caractérise par des amas ou "grappes" de poux bien visibles), videz le entièrement, débarrassez-vous soigneusement de la paille ou de la litière (l'idéal étant de la brûler si c'est possible).
Supprimez toute la poussière et n'hésitez pas à laver avec de l'eau additionnée de savon liquide (le savon noir - également disponible sur ce site - est très efficace pour cela car les poux le détestent).

Sur les surfaces horizontales et dans les nids : appliquez le produit en poudre, en le répartissant le plus uniformément possible, de façon à bloquer l'accès des poux.
Vous pouvez utiliser un tamis pour les surfaces peu étendues, et une poudreuse mécanique pour les grandes volières ou les grands poulaillers.
Si vous utilisez du journal, appliquez de la poudre SOUS et SUR le journal.
Si vous utilisez de la paille, de la litière ou du sable, saupoudrez bien au dessus.
Il n'est pas nécessaire d'utiliser de grandes quantités de Bi-Poux®, mais de le répartir le plus uniformément possible.

Sur les surfaces verticales, les murs, les éléments de cages, etc... : faites une solution en mélangeant 300 à 500 grammes de poudre à 1 litre d'eau tiède, puis pulvérisez sur toutes les surfaces.
Vous pouvez également concentrer davantage la solution (jusqu'à 1 kg de poudre pour 1 litre d'eau) en fonction de la puissance de votre pulvérisateur.
Il est important d'obtenir après le mélange une consistance fluide et sans grumeaux.
Le produit devient actif après séchage.

Une surveillance régulière sera ensuite assurée pour faire une nouvelle application de poudre dans les meilleurs délais, si vous constatez à nouveau la présence de poux rouges (pensez à utiliser l'astuce du papier ou du chiffon blancs).

Vous pouvez également concentrer davantage la solution (jusqu'à 1 kg de poudre pour 1 litre d'eau) en fonction de la puissance de votre pulvérisateur.
Il est important d'obtenir après le mélange une consistance fluide et sans grumeaux.
Le produit devient actif après séchage.

Une surveillance régulière sera ensuite assurée pour faire une nouvelle application de poudre dans les meilleurs délais, si vous constatez à nouveau la présence de poux rouges (pensez à utiliser l'astuce du papier ou du chiffon blancs).

Appliquez le Bi-Poux® en suivant nos recommandations (indiquées dans les 3 précédents paragraphes) .

Si au plus tard 1 semaine après l'application du produit dans votre volière, dans votre poulailler, dans votre pigeonnier...
vous ne constatez pas une nette amélioration de l'état de vos oiseaux et/ou de leurs petits...
Alors,envoyez-nous un email à contact@compagnie-bicarbonate.com et nous vous remboursons intégralement votre produit à son prix d’achat sans discussion (hors frais de port), et sans être obligé de nous renvoyer le flacon.
Cette garantie est valable pendant 30 jours après expédition votre produit.

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Une alternative contre les poux rouges efficace et sans danger: Bi-Poux® en Flacon de 100 g, en Flacon de 500 g, en Seaux de 2 kg et en Seaux de 5 kg


«Plus de 10 Millions de poules pondeuses ont déjà été protégées contre les poux rouges»

De nombreux témoignages d'éleveurs de petits oiseaux (serins, perruches...) ou d'oiseaux plus gros (pigeons, poules, faisans et autres gallinacés) sur les blogs et les forums d'éleveurs attestent de l'efficacité du produit.

Consultez ces témoignages en tapant "poudre bicarbonate silice poux" sur Google.

Il s'agit du seul produit de sa catégorie régulièrement utilisé par les professionnels de l'élevage de volailles.
Plus de 10 millions de poules pondeuses ont déjà été protégées des poux de cette façon.
Sécurité de l'éleveur amateur et des animaux

Le Bi-Poux® combine les propriétés du bicarbonate de sodium, dont l'innocuité est établie de longue date, et une qualité très spécifique de silice précipitée amorphe (totalement exempte de silice cristalline)

Ces composants ne présentent aucun danger pour l'homme ou les animaux en cas d'ingestion accidentelle, ni de risque de silicose, dans des conditions normales d'utilisation.

Bi-Poux® n'est pas une préparation classée 'dangereuse' selon la Directive 1999/45/CE.
Sa composition a été enregistrée le 8 août 2006 par l'INRS (Institut National de Recherche et de Sécurité) sous nº 93281.

Néanmoins, comme dans l'utilisation de toutes les poudres, nous vous recommandons de vous protéger les yeux avec des lunettes de sécurité et de porter un masque à poussière.
Un Produit Certifié pour l'utilisation dans les élevages bio

Conforme au règlement CEE n° 2092/91 modifié du 4 juin 1991, et certifié par l'organisme Ecocert, le Bi-Poux® est parfaitement utilisable pour les élevages biologiques.

De plus, vos oeufs peuvent être consommés sans restriction même immédiatement après traitement de vos volières ou de vos poulaillers.
Vous ne prenez aucun risque pour vos oiseaux ni pour vous.

Pour détruire les poux sans nuire aux oiseaux et à leurs éleveurs: Bi-Poux® en Flacon de 500g, en Flacon de 100 g, en Seaux de 2 kg et en Seaux de 5 kg


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[FREDDIE]

RACE NON HOMOLOGUEE - LE WARWICK

WARWICKFRINGE.jpg warwickstart.jpg warwickgaze.jpg

Pourquoi le nom Warwick a t'il été choisi ?

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Race originaire de la banlieue de Birmingham, qui fait maintenant partie
de l'agglomération urbaine géante appelée la région des West Midlands,
dans le Warwickshire a diminué dans la région, et couplé avec le fait que la
couronne (huppe/Corona)du Gloster grizzle a été empruntée pour construire
cette nouvelle race de canari de posture
Les amateurs ont décidé que le nom de Warwick serait le mieux adapté.
grizzle 7.jpggrizzle 9.jpg
Gloster Grizzle

[maloute45]

sans-titre.png CLASSIFICATION CANARIS DE POSTURE (EXPOSITION)


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[maloute45]

18288977-seamless-mignon-avec-des-plumes-motif-decoratif-romantique-avec-plumes-texture-de-tissu.jpgHISTORIQUE SUR LES CANARIS FRISES

La première fois que l'on vit un canari aux pennes capricieusement retournées vers le haut,
on trouva que l'oiseau ressemblait beaucoup à une petite coiffe hollandaise et, de cette
observation, naquit la dénomination de "Hollandais".

Ce nom fut donné aux frisés même si leur lieu d'origine était très éloigné de la Hollande.

Ce qui est curieux, c'est qu'aucun éleveur n'aurait voulu que les plumes des canaris frisent :
la frisure des plumes dépend d'une anomalie résultant d'une capacité d'assimilation excessive
de kératine.
Cette particularité de la nature provoque le renforcement de toutes les parties cornées, y compris
les plumes de l'oiseau.

Les races frisées se sont formées et enrichies graduellement, favorisées en cela par les
croisements et les sélections patiemment mises au point par les éleveurs.
Le premier frisé eut un énorme succès, particulièrement en France, où la nouvelle race trouva
tout de suite des amateurs et, ce qui est plus important, des éleveurs: ceux-ci obtinrent, dans
différentes régions des races nouvelles, merveilleuses, aux caractéristiques bien distinctes.

C'est ainsi que naquirent à Amiens, le Hollandais du Nord, à Paris, le Parisien ou Frisé Parisien,
enfin dans les Pyrénées, le Hollandais du Sud.
C'est à partir d'une de ces races, le Hollandais du Sud, que l'on obtint en Italie, le Gibber italicus.

Les croisements de ces diverses espèces et les sélections des races accrurent le nombre des
frisés au point que l'on a pu les diviser en deux catégories :
*La catégorie "lourde", à laquelle appartient le Frisé parisien, l'Arriciato Gigante Italiano, etc...
* La catégorie "légère", composée du hollandais du nord, du Sud, de suisse, du Gibber italicus,....

[maloute45]

imagesCA2V37RB.jpgLE PARISIEN OU FRISE PARISIEN


Ses ancêtres sont illustres : "le Trompette du Roi" dont il a hérité l'ondulation de la robe
et le Hollandais du Nord qui lui a transmis sa stature, ainsi que son titre de "géant".
Son corps mesure environ 25-28 cm, et ses ailes ont une envergure de 30 à 32 cm.

Il s'agit d'une race qui a une bonne résistance physique, qui est plutôt féconde et qui
possède également d'assez bons chanteurs, néanmoins les femelles ne sont pas de bonnes
et de patientes nourrices.
D'autre part, les petits sont quelquefois très paresseux, si bien que c'est à grand peine qu'ils
réussissent à prendre la becquée.

Les éleveurs, très souvent, les confient quelques jours après leur naissance, à des femelles
d'autres races (nourrices).
Le Parisien est très recherché par les amateurs pour ses caractéristiques principales qui le
distinguait des autres représentant de son espèce, l'élégance et la grâce de son port,
l'exceptionnelle beauté de ses plumes jointes à sa taille font de ce canari une créature
réellement extraordinaire.

La couleur des plumes du Parisien peuvent être lipochrome, mélanine ou encore panachée.
Le plumage peut être doux et délicat ou au contraire dur et robuste.
L'habit est formé par les plumes du dos, il est plus recherché s'il se subdivise d'une façon
naturelle, avec symétrie et élégance le long d'une ligne médiane qui fait retomber sur les ailes
les plumes les plus douces et les plus légères.

TROMPETTE DU ROY.jpg

Une autre caractéristique importante de cette race de canaris est constituée par les plumes
des épaules, plus elles sont longues et bouclées, plus le Parisien a de la valeur.
Ne l'oublions pas, il compte parmi ses ancêtres le fameux "Trompette du Roi" dont la beauté
justement dans les plumes des épaules que rappelaient les prestigieux uniformes de certains
officiers des siècles passés.

Alimentation

Mélange de graines.jpg pâtée aux oeufs.jpg

Pour maintenir ses caractéristiques, le Parisien a besoin d'une nourriture riche en substances
kératineuses et en sels minéraux.
Ces éléments lui sont nécessaires pour qu'il conserve son plumage frisé, long et brillant.
L'alimentation doit toujours être en fonction de la saison, de l'âge de l'oiseau et de la période
particulière qu'il traverse : reproduction...mue...repos....etc...

Voici a titre informatif une préparation de graines qui constitue une nourriture de base à donner
quotidiennement aux Parisiens:

1g d'avoine pelée, 2g de colza, 1g de lin, 2g de chanvre, 2g de navette, 10g d'alpiste, 10g de
millet blanc.
La dose étant d'une demi cuillère à soupe par jour pour chaque Frisé parisien.
Le mélange doit être préparé avec des graines fraîches et mûres.
En les préparant juste avant de les donner, on garantit une distribution d'aliments frais.

Le Parisien, en plus des graines, doit recevoir de la verdure en abondance.
Le mouron des oiseaux ou anagallis est particulièrement indiqué, la laitue ordinaire est aussi
très appréciée.
Pendant la mue, ils pourront recevoir un peu de lard haché enrobé de poudre d'os, de la pâtée
dans laquelle on aura mis des sels minéraux iodés, des granulés calcaires seront mélangés
au sable fin dont le sol de la cage doit toujours être recouvert.
On trouve tous ces produits dans les magasins spécialisés.

Pendant la couvaison, on donnera aux femelles la préparation habituelle mais on ajoutera une
pâtée aux œufs, ou quelques biscuits sec, friable
Le Parisien à besoin de plus de protéines végétales et animales que les autres canaris.
Les protéines végétales sont contenues dans le mélange habituel et dans la verdure, les
protéines animales lui sont apportées par les pâtées ou par les farines animales que l'on peut
se procurer via les oiselleries ou les distributeurs d'aliments animales.

[maloute45]

Ancienne illustrations du " Lancashire "

lancashire%20plainhead%2023.jpglancashire%20plainhead%2024.jpglancashire%20coppy%2016%20small.jpglancashire%20plainhead%2015.jpglancashire_01.jpg
lancashire_02.jpg lancashire_04.jpglancashire_11.jpglancashire_12.jpgLancashire_coppy_ante_estinzione.jpg

Au XVIIIe siècle, le Lancashire était élevé d'une façon intensive à Manchester, précisément
dans le Lancashire.
On lui avait donné le nom de Lancashire coppy, ce dernier mot s'appliquant aux canaris
possédant la huppe.

La race Lancashire était réellement imposante, sa taille 22 cm. environ et les mâles dont le
manteau était argenté dépassaient souvent cette taille.
C'est le premier canari porteur de huppe de l'élevage des canaris et c'est du Lancashire que
descendaient certaines races aujourd'hui disparues.

Tout au long du siècle dernier, cette magnifique variété de canari fut entretenue, spécialement
en Angleterre.
On ne sait pour quelle raison sa popularité commença soudain à baisser, au début du siècle
le Lancashire était quasiment introuvable.

Sans doute, a cause que ce canari de posture malgré sa taille exceptionnelle est un oiseau de
constitution délicate et peu apte à la reproduction.
Il appartenait, en outre, à une race tarée appelée à disparaitre car presque tous les exemplaires
étaient atteints d'asthme et phtisie pulmonaire.

Le destin de cet oiseau a peut-être été modifié par la Seconde Guerre mondiale, qui a durement
touché l'Angleterre et qui à probablement empêché les éleveurs de se consacrer comme ils
l'auraient désiré à leur travail de sélection.

Il est nécessaire néanmoins de parler du Lancashire car c'est à cette espèce que l'on doit
l'existence de nombreuses variétés importantes.
Heureusement, grâce à la persévérance de quelques amateurs, nous pouvons toujours admirer
cette perle de la canariculture anglaise.

[canarisfolies33]

Bonjour à tous et à toi Léon et Merci beaucoup pour toutes ces photos et ces précisions très utiles. Amitiés robert.

[maloute45]

Nouvelle race proposée par l'Italie LE CANARINO PESCHIERA

Canarino2.jpg 2980713541_2_3_F4SPw6R7.jpg

Pas encore homologuée par la C.O.M. - affaire à suivre.....

[maloute45]

HISTORIQUE DU BORDER FANCY

C'est peut-être, parmi les races de canaris de posture, celle qui est la plus répandue au
Royaume-Unis où l'on trouve tellement d'éleveurs de Border.
Au début de ce siècle, le Border fancy était connu en Angleterre sous le nom de "Canari serin"
ou "Serin finch" (c'est-à-dire "pinson serin").

Il était alors de couleur grise, verte ou vert-grisâtre.
Ses éleveurs étaient des artisans "écossais" (des tailleurs, des tisserands ou des cordonniers)
qui avaient leurs boutiquent dans les villages ou les bourgs frontaliers, en effet "border" signifie
"frontière" en anglais !

103814700_amazoncom-the-border-fancy-canary-the-bird-keepers-.jpgborder%20canary_%20(9)_000.jpgimages.jpgimagesCAM5MYH2.jpg

Chaque village vantait sa propre variété de canaris et pendant longtemps les Ecossais et les
Anglais se disputèrent l'honneur d'avoir introduit le Canari serin dans leur pays, mais il fut bientôt
prouvé, et cela fut difficilement admis par les Anglais, que le mérite revenait à un simple
cordonnier, venant d'Ecosse, qui s'était installé dans une localité anglaise avec sa famille, ses
outils et des canaris en cage.

Au moment de donner un nom à ce canari, on a voulu, pour ne faire de tort a personne, l'appeler
Border, en souvenir des villages de frontières où pendant longtemps il avait été élevé et
sélectionné avec amour par les braves artisans.

Les canaris Border ont toujours été très appréciés .
Il suffit de se rappeler que les premiers clubs ouverts en leur honneur furent fondés aux environs
de 1890 et que, très vite, chaque région en posséda un.
La production annuelle des Canaris Border est nettement supérieure à celle de toutes les autres
races réunies et les multiples expositions organisée chaque année dans ce pays accueillent des
participants toujours plus nombreux.

[maloute45]

imagesCAMCUSGT.jpg

RACE ANGLAISE, LE LIZARD

Son nom qui en anglais signifie "lézard" lui a été donné à causes des taches qui parsèment
son magnifique manteau et qui rappellent le dessin en forme d'écailles caractéristique de
la peau du lézard.

Son plumage est épais et plutôt foncé.
Ses plumes sont jaunes avec des taches noires ou brunes nuancées de gris, à la première
couleur appartient le lizard nommé "or" (Gold), à la seconde, le lizard "argent" (silver), il
s'agit pour ces derniers, d'un très beau gris irisé.

kresba_zlaty.pngBROKEN%20CAP%20BLUE%20HEN%20DTA42.jpgimagesCATXHUEZ.jpg

Les "écailles" du Lizard sont placées sur la partie supérieure de son dos et superposées, elles
forment des lignes symétriques de petites taches en croissant de lune.
Ce sont les plumes de couleur jaune plus ou moins intense dont la partie supérieure est bordée,
sur quelques millimètres, soit d'une couleur dorée et brillante, soit d'un gris argenté, beaucoup
plus clair que le reste des plumes.
Ce sont précisément ces plumes qui déterminent la classification en deux types différents : or
et argent.

La valeur d'un lizard dépend de la disposition et de l'alignement de ses plumes : si la disposition
des "écailles", c'est-à-dire le SPANGLING est parfaite, la valeur du canari augmente.
La perfection de ce détail n'est pas héréditaire, c'est pourquoi le Lizard qui n'a pas un spangling
de premier ordre peut très bien servir pour la reproduction.

Il y a des variations de la couleur jaune qui peut être plus ou moins intensive.
Les canaris qui ont le plus de valeur sont ceux dont la livrée est foncée.
Les couleurs cuivre et bronze sans reflets verts sont les plus recherchés.

Le duvet doit être doux, soyeux et adhérent au corps, c'est ce qui donnera le relief souhaitable
au spangling.
L'habit du Lizard n'est jamais aussi beau que pendant la première année de sa vie, à chaque
mue, les ailes et la queue peuvent se détériorer.
Il s'agit néanmoins de détails bénins qui peuvent passer inaperçus et qui, de toute façon ne
compromettent pas la beauté de l'oiseau.
Les caractéristiques du spangling, la calotte et les rayures de la poitrine s'améliorent chaque année.

Sur le corps du Lizard se trouvent des lignes appelées ROWING qui partent de la gorge et se
terminent sur les flancs.
Ces lignes sont composées par les mêmes plumes en forme d'écaille que celles du dos, mais
elles ne sont pas aussi bien alignées ni aussi parfaites.
Les ailes et la queue sont noires et, sur leurs bords externes, sont nuancés de bronze ou de
gris-argenté.
L'oiseau est parfait ou presque parfait, si cette nuance est réduite au maximum.
Le Lizard serait théoriquement sans défaut si, à toutes ces qualités, s'ajoutait le noir parfait
et brillant des plumes qui recouvrent la queue et les ailes, mais ceci n'a pratiquement jamais lieu.

imagesCAN64EQZ.jpgIMG_3604.jpglineart_Lizard.gif

Il n'est pas rare qu'à partir de la première ou de la seconde mue, un Lizard qui, pendant la
première année de sa vie, avait les plumes de sa queue et de ses ailes bien formées et presque
noires, présente quelques défauts, c'est-à-dire de petites taches blanchâtres sur le bord des
plumes ou bien une diminution de l'intensité de la couleur.
L'oiseau peut néanmoins très bien servir à la reproduction.

La tête du Lizard est recouverte (chez le casqué) d'un petit casque appelé "calotte", formé de
petites plumes jaune intensif chez le Lizard or (gold ou doré) et blanc chez le Lizard "argent"
(Silver ou argenté).
La calotte recouvre aussi les sourcils et le bec de l'individu.

Le Lizard aime la compagnie et sait se faire apprécier, il s'apprivoise et a un caractère très gai.
Par ailleurs, il est très intelligent, affectueux, aimable et son chant est des plus agréables.
Très prolifique en se mariant à différentes catégories de canaris, a donné naissance à d'autres
races : c'est de lui, par exemple que descendent le fameux London fancy.

Les Lizards sont de bons parents, les femelles sont des couveuses zélées, et elles donnent la
becquée d'une façon exemplaire.
Capable de porter à terme de grosses couvées et de nourrir une nombreuse progéniture.
On leur confie parfois les oisillons qui, pour une raison quelconque, ne peuvent être élevés par
leur propre mère.
Je peut ajouter à tout ceci que ces canaris se contentent de ce que vous leur donnez, vous
pourrez les élever et les nourrir avec un e grande facilité.

M@loute45

[maloute45]

imagesCAI7P7WO.jpg Clichés du Japon LE HOSO DU JAPON

La race est connue aujourd'hui comme "Hoso" et remonte aux origines, aux XXe siècle, au Japon.

Son histoire est très confuse et controversée, mais elle vaut la peine de l'étudier plus à comprendre ce que les articles de toutes provenances sur le Net..
En fait, cette forme de canari et la position répond à un grand succès et la propagation.
Il est dit que M. Nakamura a été le premier à choisir ces canaris, et il semble que la variété élevée a été appelée "Hosei", d'où le nom de la race.

D'autres écrivent que le mot «Hoso" signifierait quelque chose comme "maigre", mais honnêtement, après avoir cherché un traducteur numérique, et après avoir essayé une douzaine sur Internet, ne sont pas en mesure de définir l'un des mots, parce qu'aucun traducteur ordinateur est capable de les reconnaître.

Le seul mot que j'ai trouvé pertinent est "flexible", qui signifie "tuyau", au moins en fonction de Babylone.

Une confusion est l'incertitude ajoutée, car certains disent que Nakamura Sans le "Glasgow Don" avait utilisé le Bossu belge pour ses sélections, mais le fait demeure peu expliqué, depuis le Glasgow Don avait disparu à la fin du XIXe siècle, et que le Bossu belge passait par sa première crise majeure et a été à son tour sérieusement menacée d'extinction.

20110900003%20Posture%20Canary%20-%20Japan%20Hoso.jpg
Japan hoso

En outre, dans les deux décennies précédant les années 20 le Japon a participé à deux conflits majeurs, la guerre russo-japonaise (1904-1905) et la Première Guerre mondiale (1914-1918).

D'autres sources donnent des années de 1926 et 1950 ainsi que les dates du début de cet élevage, mais il est encore plus improbable que l'utilisation à été réalisée avec des canaris comme le Glasgow Don et le Bossu belge.


Je préfère penser que c'est un canari d'origine japonaise, introduit probablement par accident dans l'ouest au milieu du stock de moineau du Japon , moineau, rossignols japonais ou d'autres oiseaux importés dans les années 70, quand il importait tout volatile en l'absence de lois qui réglementait le commerce international et la maintenance.

Depuis cette date, il a été principalement mis en place en Belgique, où les éleveurs étaient jaloux de l'unicité de leur Bossu belge (si vous aviez été plus jaloux en temps voulu, peut-être que vous auriez disparu presque complètement).

Leur préoccupation était de maintenir séparé Bossu, qui selon certains ressemblait au début.

Apparence et les caractéristiques du Canari Hoso japonais

En fait, le Hoso a souvent été appelé Bossu de canari en miniature, des autres un scotch jaune canari en miniature.

La réalité est différente.
Je suis très désolé pour ses détracteurs, mais ce canari a des caractéristiques spéciales telles que pour mériter le succès qu'il a eu, surtout après que, en 1974, a été reconnu dans le monde.

Sur le chemin, la conception standard a été affinée depuis les premiers dessins qui le représente semblable à un petit Bossu, puis ceux qui l'ont dépeint comme un race écossaise, jusqu'à la norme actuelle, qui fut reconnue à la fois à l'Ouest et au Japon, qui montre un petit canari, très mince, courbé, avec une sortie au perchoir très technique, comme une forme de canari vrai et la position.

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Dressage effectué par un amateur japonais

Sa taille ne doit en aucun cas dépasser 11 cm.
Épaules pour ne pas être vu, mais il doit montrer une courbe silhouette mince d'une manière continue, sans aucun angle.

La queue doit être étroitement unie ", a apporté avec constance au perchoir" (une expression très malheureuse).
La queue doit être compris en ce sens qu'il passe sous le perchoir, mais il forme un angle à l'arrière.

La tête doit être petit serpentine, mais un long cou arqué, et de bons spécimens doit prendre position sur les jambes

Enfin, la similitude avec le canari Bossu de Belgique n'existe pas, peuvent se rappeler plus le Scotch fancy , pour le profane, cependant, comme les épaules et les côtés de Scotch n'appartiennent pas a l'Hoso japonais.

La petite taille et subtile donnent l'impression d'un canari très vif et intelligent, comme il se doit .

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Jugement

Sa taille ne doit en aucun cas dépasser 11 cm.
Épaules pour ne pas être vu, mais il doit montrer une courbe silhouette mince d'une manière continue, sans aucun angle.

La queue doit être étroitement unie ", a apporté avec constance au perchoir" (une expression très malheureuse).
La queue doit être compris en ce sens qu'il passe sous le perchoir, mais il forme un angle à l'arrière.

La tête doit être petit serpentine, mais un long cou arqué, et de bons spécimens doit prendre position sur les jambes

Enfin, la similitude avec le canari Bossu de Belgique n'existe pas, peuvent se rappeler plus le Scotch fancy , pour le profane, cependant, comme les épaules et les côtés de Scotch n'appartiennent pas a l'Hoso japonais.

La petite taille et subtile donnent l'impression d'un canari très vif et intelligent, comme il se doit .

Je vous conseille cette race car il est un grand joueur, ce qui n'est généralement pas un problème, robuste et facile à élever, mais assez technique pour être en mesure de donner un moment difficile pour ceux qui Je me suis aventuré sans suffisamment de pouvoirs d'observation et de donner les choses pour acquises, comme c'est toujours un canari grande typicité.


L'appariement correct est : intensif X schimmel avec l'inclusion d'un couple peu intenses , car il est très important de ne pas dépasser la taille maximale, en se concentrant sur de petits sujets.

Mieux vaut ne jamais adhérer à un dépoli avec un glacial, au mieux, vous devez essayer de faire en sorte que l'un d'eux est le vert ou panaché.

Un sujet schimmel vert ou panaché devient aussi précieux pour être couplé au cas où vous avez une copie de super intensif, qui montre des plaques de peau nue sur le sternum, les cuisses ou derrière les yeux.

Compte tenu de l'aptitude remarquable pour les spécimens d'élevage de déchets peut toujours être utilisé comme nourrices ou oiseaux de maintenance.
Nourrir les Canaries Hoso japonais

Dans la reproduction, contrairement à de nombreuses races, le Hoso a besoin d'une pâtée
pas trop riche en protéines, en fait, un peu plus rare que, par exemple, de celui qui est adapté à un canari Gloster ou à un canari commun, et toujours aliments frais, ainsi que les graines germées.

M@loute45

[maloute45]

LE COLOMBUS FANCY (Race non homologuée).

colombus.jpg Bird.jpg

Le canari Columbus est le produit de plusieurs éleveurs aux États-Unis travaillent ensemble pour produire un canari de chant libre plus symétrique, mieux proportionné et plus attractif en apparence que ses homologues.

LeColumbus, également connu sous le nom "Type de Canari de l'Amérique".
La plupart des travaux initial est crédité au programme d'élevage de Mme WA Finney dans le Columbus, région de l'Ohio.
Ce sont des oiseaux avec des têtes bien formées et organismes potelés qui ont été sélectionnés pour produire ce nouveau type, et ses créateurs on a pris soin de garder un oiseau à plumes serrée, bien proportionnée et ne dépassant pas 13 cm.

Les éleveurs de Cleveland et Detroit ont joué un grand rôle dans la production de ce nouveau type sous les directions de Mme Finney.
Un groupe de la région de l'Ohio Columbus promu l'oiseau, l'attribution du premier standard acceptée en 1933.

Cinquante ans plus tard, un nouveau standard fut élaboré et approuvés (1983)

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Couleur :

Lumineux et riche tout au long de couleur naturelle, pas de couleur nourris ou élevés 15 points

Plumage :

Doux et soyeux, mais serré et compact 20 points

Jambes et pattes :

Santé, propreté, pas stationnaire sur la perche 10 points

Corps :

Bref, bien arrondi en pleine poitrine et le dos.
Ne pas apparaître trapu, mais une légère apparence tubulaire est préféré. cou lourd et épais
20 points

Tête :

Arrondi tous les angles, court bec, oeil centré, plat et crâne pincé à éviter.
Huppe, de forme ovale, avec un centre bien défini, mis bien du crâne sans fentes, des cornes ou des taches nues. Tête lisse pour le plainhead 20 points

Ailes :

Uniformément fixé à la base de la queue, porté près du corps 5 points

corps :

Trapu et bien en arrière 5 points

Taille :

Bien proportionnée - longueur idéale 13 cm. - 5 points

Total des points 100

[maloute45]

Mehringer (Description plumage)

merhinger.JPG

1 Manteau
2 Frisures de poitrine
3 Nageoires
4 Bouquet
5 Frisures abdominales
6 Collier
7 Moustaches et favoris
8 Coiffe
9 Plumes de coq

[maloute45]

Le Gibber italicus (Ses origines)

Il faut mentionner que ce canari frisé léger de position nommé aussi dans son pays d'origine,
le "Septem italicus".
Il appartient à la première race italienne de canari de posture qui ait été officiellement
reconnue en février 1951 par les organisations internationales d'éleveurs de canaris.

Ses origines sont très intéressantes.
Il y à un peu plus d'une centaine d'années, les éleveurs du Nord de la France obtinrent, après
quelques années d'expériences, le Hollandais du Nord puis, en perfectionnant leurs expériences
créèrent le Parisien ou Frisé Parisien.

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Les éleveurs espagnols procédèrent eux aussi à des sélections.
Ils croisèrent l'élégant Hollandais du Nord avec le merveilleux Gantois belge et obtinrent un
oiseau aux épaules arquées, au cou large et qui était très élégant malgré son plumage et ses
formes asymétriques .

Ce canari fut immédiatement acheté par les éleveurs français qui virent tout de suite la possibilité
de l'améliorer afin d'obtenir, par des sélections judicieuses, une nouvelle race bien supérieure
encore.
C'est ainsi que prit naissance le Hollandais du Sud dont on peut dire que c'est un oiseau
extraordinaire, tant par sa beauté que par son élégance et son port.

Des éleveurs européens s'y intéressèrent, mais c'est dans le Sus de l'Italie que cet intérêt se
transforma en enthousiasme.
Un demi-siècle plus tard, les modifications apportées à la branche originelle, par des croisements
opportuns donna une nouvelle race, précisément celle du GIBBER ITALICUS ou SEPTEM ITALICUS
elle descend donc du Hollandais du Sud, qui descend lui -même du Hollandais du Nord et du Gantois.

Le nom que les premiers éleveurs italiens avaient donné à cette race était le "Serin Bossu Gantois Frisé.

Certains amateurs non-initiés trouvent que le Gibber italicus n'est pas beau !!!
En fait, il s'agit d'un petit canari aux épaules arquées, ce qui, à première vue, lui donne un
aspect gracile.

Son bec est petit, son cou long et souple, dirigé horizontalement vers l'avant, est couronné d'une
petite tête en forme de noisette lisse.
Le jabot n'est pas suffisamment abondant pour recouvrir tout le sternum dont on voit la peau
et la structure osseuse.
Les épaules sont hautes et garnies d'une frisure symétrique et ordonnée, les pattes longues et
raides sont complétement dépourvues de plumes.
Les pennes, qui sont longues, adhèrent au corps et enfin, la queue fine et unie retombe droite
le long du perchoir.

La taille de cette race de canaris de posture se situe entre 15 et 17 cm.
La frisure des plumes n'est pas très marquée sur le dos, elle est à peine visible sur les épaules, la
poitrine et les flancs et elle est inexistante sur le cou et les pattes.

Lorsqu'il est au repos, le Gibber prend une forme qui ressemble à celle du chiffre 7 et, on ne peut
dire que, du point de vue esthétique, cela soit très beau.
Ce Frisé léger, mince, fuselé, nerveux et très agile, n'est pas dénué d'un certain charme pour les
connaisseurs qui voient en lui une ressemblance avec un petit rapace.

Afin de clarifier la question de la "gibbosité" de ce canari, il faut dire que l'on ne peut pas parler
d'une véritable bosse mais simplement d'une conformation du squelette, un peu particulière.

Le Gibber italicus est sensible, nerveux et intelligent, et ses amateurs disent qu'on ne peut le
comparer à aucune autre race.
S'il est vrai qu'il ne plait pas à tout le monde, celui qui l'apprécie le trouve supérieur à beaucoup
d'autres races.