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04/04/2013, 14h59
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04/04/2013, 17h48
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05/04/2013, 12h43
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Uniquement pour information - Par maloute45
Copyright © LA MUTATION CINNAMON (enregistrée dans les années 1709) GRA1_271385_12_2.jpgimagesCA5T996H.jpgimagesCALP60W9.jpg Le cinnamon a longtemps été considéré comme un moyen d'améliorer la qualité du plumage de nos canaris de posture dans un élevage, encore que quelques éleveurs resterons très prudents à l'utiliser, vu sa réputation d'affiner le plumage à un niveau tel qu'il produit alors des défauts comme une tête pincée,un plumage flou (trop soyeux) et une perte générale de la taille du corps....... Beaucoup de souches de Glosters aujourd'hui contiennent du sang cinnamon, mais le novice ne comprend pas toujours comment cette mutation est transmise d'une génération à une autre. Hors, il n'y a pas très longtemps, qu'il fut compris que la mutation cinnamon était liée au sexe. Ce qui veut dire que les gènes qui transfèrent le facteur cinnamon sont portés par le même chromosome que celui qui détermine le sexe de l'oiseau. C'est ce qui a désorienté les premiers amateurs qui voyaient que leurs oiseaux panachés verts produisaient des jeunes panachés cinnamon. Tous les cinnamons ont les yeux rouges, ce qui est facilement reconnaissable quand les jeunes viennent d'éclore. Ces jeunes aux yeux rouges peuvent avoir une tâche cinnamon, être panachés ou complètement clairs. Ce sont tous des purs cinnamon en ce qui concerne la reproduction. Lors des accouplements,il est fortement conseiller d'inscrire chaque résultats dans son registre d'élevage ,ceci pour éviter toute confusion relative a la mutation cinnamon!!! IL Y A TROIS TYPES DE MALES : - cinnamon : il est 100% cinnamon et a les yeux rouges. - Split cinnamon : il ne laisse pas voir de marques cinnamon et a des yeux noirs mais il porte le gène cinnamon. -Classique : il ne porte pas le gène cinnamon et a les yeux noirs. Il ressort de ces descriptions qu'il n'y a pas de différences visibles entre un mâle classique et un mâle Split (porteur) cinnamon (s'ils sont panachés, ils auront tous deux des marques classiques). IL Y A DEUX TYPES DE FEMELLES : -La cinnamon : elle est 100% cinnamon et a les yeux rouges. La classique : elle ne porte pas le gène cinnamon et a les yeux noirs. La femelle n'étant pas porteuse,elle est ou n'est pas cinnamon !!! 024.jpg Jeune femelle Corona Cinnamon de l'année en mue. Photo : Christophe PONTOIZEAU http://bridgebird.over-blog.com/ La raison de ces facteurs est qu'un mâle (XX) porte deux chromosomes X : le classique est porté par un des chromosomes et le cinnamon est porté par l'autre chromosome.. Une femelle (XY) porte un chromosome X et un chromosome Y et peut seulement être classique ou cinnamon car son chromosome Y est dormant et les gènes pour la pigmentation du plumage sont sur le chromosome X lequel est le même chromosome qui détermine le sexe. NDLR : Quand on achète un mâle, on ne peut jamais être sûr que ce Gloster ne sera pas un porteur (Split) cinnamon étant donné que ça peut éventuellement rester caché pendant plusieurs saisons avant de réapparaître. Cle ou Combinaisons des accouplements "Cinnamon" : a) MALE CLASSIQUE X FEMELLE CINNAMON : - 50% jeunes mâles classique split cinnamon. - 50% jeunes femelles classique. b) MALE CINNAMON X FEMELLE CLASSIQUE : - 50% jeunes mâles classique split cinnamon. - 50% jeunes femelles cinnamon. c) MALE CLASSIQUE SPLIT CINNAMON X FEMELLE CLASSIQUE : - 25% jeunes mâles classique . - 25% jeunes mâles classique split cinnamon. - 25% jeunes femelles classique. - 25% jeunes femelles cinnamon. d) MALE CLASSIQUE SPLIT CINNAMON X FEMELLE CINNAMON : - 25% jeunes mâles classique split cinnamon. - 25% jeunes mâles cinnamon. - 25% jeunes femelles classique. - 25% jeunes femelles cinnamon. e) MALE CINNAMON X FEMELLE CINNAMON : - 50% jeunes mâles cinnamon. - 50% jeunes femelles cinnamon. NDLR : *Cinnamon : mot anglais désignant "Cannelle"-(Brun-roux) *Split : mot anglais désignant "porteur". *Rappel: tous les jeunes "cinnamon" se distinguent des autres jeunes dans le nid par leurs paupières rouges. La mutation Cinnamon ne se rencontre pas uniquement chez le Gloster,mais bien dans plusieurs races de canaris de postures,exemple : Fife fancy,Border, Frisé parisien,Munchener,etc...Copyright ©. Dernière modification par FREDDIE ; 29/07/2013 à 15h08. |
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05/04/2013, 20h17
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merci pour les infos
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Amicalement. Fabrice |
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10/07/2013, 19h37
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GIRALDILLO SEVILLANO -Copyright © Race non homologuée par la C.O.M Origine de sa création par sélection avec Fiorino huppé, Gibber Italicus et Giboso Espanol Description : Le Giraldillo Sevillano est un canari de posture de position (chiffre 1) légèrement frisé, sa taille actuelle est de 15 cm maximum, néanmoins les créateurs de la race tente encore sa miniaturisation. Avec l'ajout d'un arc et d'une couronne sur le sommet du crâne toute les couleurs sont admises, y compris la coloration artificielle en rouge Remarque : Seuls les exemplaires huppés sont à prendre en considération pour les concours. Les têtes lisses ne servant que d'intermédiaire pour la reproduction. 2.jpg6h5ijt.jpgimages.jpgimgc0066.jpg Le 4 Décembre 2012 restera dans l'histoire du canari espagnol comme la reconnaissance d'une nouvelle race de posture au niveau national, le GIRALDILLO SEVILLANO (15 cm maxi). Ce canari à été présenté dans la compétition nationale qui s'est tenue à Almería COE, après avoir passé pendant trois années consécutives (Mallorca-Almeria Almeria). A présent, il reste un chemin difficile d'être reconnu dans le monde entier. giraldillo.jpg 350px-Giraldillo.jpg Giraldillo sevillano, nom populaire pris à partir de la réception de la sculpture qui couronne la Giralda de Séville, de son vrai nom Triumph (ou Colossus) de Victorious Faith. Aussi appelée à tort de Santa Juana . Copyright © Dernière modification par FREDDIE ; 12/07/2013 à 22h44. |
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12/07/2013, 12h11
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Source : Documentation de "maloute45" (léon)
L'ENTRAINEMENT DU BORDER -------------------------------------------------------------------------------- Copyright © -Le carrousel des expositions a tourné à nouveau à plein rendement depuis septembre 2012 Cela nous a permis de visiter presque chaque week-end l'un ou l'autre show sans oublier le Mondial de cette année,qui se déroulait à Hasselt, où nous avons pu admirer de nombreux volatiles. Un détail qui donne un attrait supplémentaire à ces fééries de l'oiseau,est que les nouveaux amateurs pouvaient y glaner maints conseils donné par les spécialistes rencontrés au hasard des allées,ce qui à mon sens viendra bien à point pour les années suivantes 3038011771_2_5_pBuLk1nO.jpg NewModel.jpg Je ferais aujourd'hui une petite causerie sur le Border appelé Frontière en anglais, qui est sa patrie d'origine. ENTRAINEMENT Le Border doit tout comme le Fife fancy subir un bon entraînement. Commencer dès que l'on peut, le plus tôt sera le mieux. Les jeunes Canaris Border peuvent y prendre part dès l'âge de cinq à six semaines en les plaçant dans une cage d'exposition. Il vaut toutefois mieux les remettre en volière lorsque la mue commence et ensuite les replacer en cage au début de septembre. Il est permis de se rendre compte que les oiseaux s'habituent mieux à leur nouvel environnement, normal ils ont encore le souvenir de la cage d'exposition. Des oiseaux nerveux, qui le sont souvent, parce que soumis au stress, sont souvent calmés par l'absorption forcée de l'une ou l'autre médication sédative spécifiquement destinée à la gent avicole et en vente libre dans le commerce. Il ne faut quand même pas faire des zombies de nos oiseaux et je m'inscris en faux contre cette méthode. Nos oiseaux doivent rester vifs en se déplaçant d'un perchoir à l'autre. Il existe d'autres moyens pour calmer les oiseaux ! Ne vaut-il par exemple pas mieux enlever la nourriture et la boisson de la cage et les amener à manger selon un schéma que nous imposons sans pour cela les priver? Pas d'auget ni de fontaine dans la cage d'exposition donc ! On pourra voir que les oiseaux vont se calmer au bout d'un certain temps et venir quémander de la nourriture ou rechercher à boire en se présentant près du front de la cage. C'est vrai, cela nous prend plus de temps, mais un bon résultat doit se payer. ORTEILS. Le Border se tient souvent sur son perchoir en l'aggripant de son orteil arrière et en relevant les trois autres. Cette manière d'agir ne permettra jamais à l'oiseau d'atteindre une bonne position. Remédier à cet aléa se fait en plaçant des perchoirs cannelés ne dépassant pas cinq à huit millimètres de diamètre dans la cage d'exposition. Ils sont de plus disposés obliquement. Cela va forcer le Border a utiliser intensivement ses orteils,ce sera tout bénéfice pour sa tenue sur le perchoir. Rendre l'oiseau curieux ce ce qui se passe autour de lui est aussi une bonne astuce. Il faut pour cela couvrir la cage partiellement de manière à obliger l'oiseau à tendre le cou et se dresser sur les pattes pour voir ce qui se passe. COULEUR. Une règle d'or: - un bon mâle vert schimmel est indispensable dans le stam d'élevage pour le maintien de la couleur. La qualité de nos Canaris Border s'est tellement amplifiée qu'un nouveau critère doit maintenant passer sous l'oeil critique des juges : "la couleur". Forcer la couleur artificiellement n'est pas interdit mais est périlleux. border%2520fancy.jpg border2.jpg Il s'agit en fait d'un risque supplémentaire,artificiel,ce supplément de coloration demande que l'on soit prudent dans son administration. Si on veut absolument forcer la couleur de nos oiseaux,il faudra que le plumage soit d'une couleur égale. Une mauvaise coloration chez le Border ressort sur les épaules trop colorées entraînant une perte de points. Un plumage comme il faut va se colorer de manière adéquate. Un défaut de coloration va "torpiller" l'oiseau ! Attention l'on ne parle pas içi de coloration rouge,qui elle est formellement interdite via cette race de Canaris de posture !!! Il existe en effet dans le commerce des oiseaux bien d'autres colorants,autre que celui-là.... Le Comité des juges ont convenu que ni rectrices ni rémiges ne doivent être colorées, contrairement à ce qui se passe chez les Canaris de couleur. Inutile donc de forcer la couleur des jeunes dès leur tout jeune âge,mieux vaut attendre l'âge de huit semaines. Je terminerai en disant que lorsqu'il faut faire un choix entre deux oiseaux dotés de qualités analogues,l'emportera celui qui aura été coloré artificiellement (dans le cas éventuel ou un seul l'est) : on estime en effet (les juges) que réussir une telle coloration peut être considéré comme étant un degré de difficulté supplémentaire.-Copyright © Dernière modification par FREDDIE ; 12/07/2013 à 12h41. |
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14/07/2013, 08h35
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L'ALIMENTATION DU BOSSU BELGE - (Texte : Maloute45)
Source : Conférence Club BPC Brabant, donnée par Monsieur Dawans, éleveur de la race 2085008057_small_1.jpg Les Bossus doivent recevoir un bon mélange de graines,dans le commerce il y a de nombreuses marques et de nombreuses composition,toutes très bonnes. Mais il est préférable de faire son mélange soi-même comme le pratique la majorité des amateurs de "Bossu belge (ce mélange sera servi toute l'année). Pour un total de 5 kg de base Il faut prendre 3 kg de Millet plat + 400g de Navette douce + 400g de graines de Lin + 400g d'Avoine pelée + 400 g de Chanvre + 400g de Niger = bien brasser le tout pour un mélange optimal. Viens ensuite la pâtée : Les proportions ne sont pas donnée, car tout dépend du nombre de sujets dans l'élevage. De la Chapelure, de la farine de Germes de Blé ,une pincée de Cassonade*, de la Semoule de Biscuit (Rusk*) ou de la Semoule de Couscous, des vitamines ainsi que des protéines. A ce mélange, il faut ajouter des Graines germées,et des Oeufs complets cuits durs, dont le nombre varie de 18 en période d'élevage à 6 en période de repos. La pâtée est donnée journellement toute l'année sans exception !!! Un jour sur deux, il faut distribuer également de la "verdure" (brocoli, chicorée, cresson, endive, mouron, concombre, courgette, pissenlit, etc..). Et des fruits : pommes, oranges, etc (pensez a prendre des fruits bio, et pensez également à extraire les pépins qui pourraient être nocifs pour les oiseaux). Il est vain de croire que cette méthode d'alimentation donnée ici comme simple information soit trop riche et pourrait engorger le foie et la flore intestinale...car les Bossus, contrairement aux races anglaises, n'accumulent pratiquement pas de graisse. * CASSONADE GRAEFFE DE TIRLEMONT . cassanade_graeffe_tirlemont_1kg.gif * La cassonade Graeffe est un sucre produit et commercialisé par la Raffinerie Tirlemontoise. Elle est très connue en Belgique et en Flandre française. C'est un sucre roux, mélange de sucre et de mélasse, granuleux aux reflets dorés. Fabriquée à partir de la betterave sucrière, elle est obtenue par la cristallisation d’un mélange de divers sirops. Ce produit, qui répond en Belgique à l'appellation Cassonade, correspond en France à une vergeoise. Elle a été inventée par Karl Graeffe. En 1929, l’entreprise familiale Raffinerie Graeffe, à Bruxelles, en Belgique, devient une société anonyme. En 1953, l’entreprise est achetée par la Raffinerie Tirlemontoise. La production est alors transférée à Tirlemont, où elle s'effectue toujours selon le procédé traditionnel. En France, la cassonade Graeffe est commercialisée sous le nom de « Sucre roux Graeffe ». L'emballage de cassonade Graeffe, un sachet de papier en plusieurs épaisseurs, montre un jeune enfant, mangeant une tartine avec de la cassonade. L'emballage mentionne le texte suivant : "la texture particulière de ce sucre est le fruit d'un savoir-faire et d'une tradition bien de chez nous, longue de 150 ans. Les données nutritionnelles (par 100g) mentionnées sur le paquet (2012) sont : Valeur energétique : 1637 kJ - 385 kcal Protéines : 1,9g Glucides : 94,4g dont sucre : 94g Lipides : 0g Fibres alimentaires : 0,2g Sodium : 66mg Potassium : 526mg * RUSK : rusk.gif Le Rusk est un granulat de biscuit très dur d'origine anglaise entrant dans la composition de leurs fameux cakes. . Pour les pâtées d'oiseaux, il à l'avantage par apport au Couscous qu'il n'à pas besoin d'être cuit, de même que sa valeur énergétique est aussi plus élevée. Le Couscous est une semoule de grain dur travaillée à la vapeur jusqu'à l'obtention des petits grains qui sont ensuite asséchées. Le Rusk et le Couscous sont deux ingrédients servant de liant de base à la pâtée d'oiseaux, et qui rende la pâtée plus "gonflante". Copyright © Dernière modification par FREDDIE ; 18/02/2014 à 18h02. |
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14/07/2013, 09h10
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Comment préparer la semoule de couscous ? - Copyright ©
Avec l'aimable autorisation de son auteur : Giuseppe Valendino (Italie) Traduction et adaptation française par : Vingolato François,Belgique. Rédigé par léon ( maloute 45). Ces dernières années,le couscous est en train de prendre de plus en plus de place dans les élevages,en tant que valide substitut de la pâtée à l'oeuf pour l'élevage des jeunes. Tenant compte du fait que,pour diverses raisons,de ce produit,aucun négociant ni firme du secteur ne vous en parlera jamais ( c'est un aliment pour usage humain en vente dans n'importe quel commerce discount ou supermarché),il m'a semblé être de mon devoir d'informer,par un article,tous les collègues et lecteurs qui ne le connaissent pas. Qu'est-ce que le couscous ? Le couscous est une semoule de grain dur travaillée à la vapeur jusqu'à l'obtention des petits grains qui sont ensuite asséchés. Ce dérivé du grain est à la base de nombreux plats traditionnels des pays nord-africains et est utilisé dans de nombreuses variantes. Jusqu'à y à quelques années,il était utilisé dans notre secteur,seulement pour humecter la pâtée sèche. Par l'usage,on s'est rendu compte que pendant la période de couvaison,il peut tranquillement être utilisé à la place de la pâtée. En l'utilisant,on abaisse à 80-90% l'usage de celle-ci. Et si on utilise la seule farine de maïs,quand il est nécessaire de "sécher" un couscous qui aurait trop baigné,de la pâtée sèche,durant les couvées,on peut le faire aussi. Cela est un fait et non pas une opinion. Il faut d'autre part considérer qu'un kilo de bonne pâtée coûte environ 3...3,5 euros,alors qu'un kilo de couscous,dans n'importe quel discount,ne coûte pas plus de 0,80 à 0,90 centimes ! Mais l'avantage de cet aliment n'est pas seulement le coût,même si rien que cela ne serait déjà pas mal. C'est surtout dans son appétence : - Les canaris vident littéralement les mangeoires,chose qui ne s'est jamais vérifiée (du moins pour celui qui écrit) même avec la meilleure pâtée du commerce. Mais comment le préparer ??? C'est très simple : on met 200 - 250 grammes de couscous dans un récipient et on y ajoute un verre d'eau (ou si on veut même du lait),de préférence chaude. (Il se reconstitue tout de suite). - Il n'est pas nécessaire de le faire cuire.Et il est déjà prêt à l'utilisation Une fois qu'il est "reconstitué",ajouter l'oeuf dur broyé et,si on veut,des graines amolies ou germées. Cette quantité est suffisante pour environ 30 couples de canaris. La retenue de cet aliment est très élevée. Au moment où il se "reconstitue"et absorbe l'eau ou le lait,il se gonfle notablement,de cette façon,avec une petite quantité on nourrit un grand nombre de couples. Utilisant l'eau ou le lait chaud,le temps de préparation pour presque trente couples de canaris n'excède pas les cinq minutes. Au cas où,en élevage,on ne disposerait pas d'eau chaude,aucun problème : on peut très bien le faire à l'eau froide. Il lui faudra quelques minutes de plus pour se "reconstituer" et être prêt à l'usage,mais c'est tout. Très facile et rapide. Les jeunes alimentés de cette façon sortent du nid bien gras,la tache hépatique est peu évidente et les mères déplument très peu ou pas du tout les petits ( le pourquoi de ce fait,je l'ignore). D'autre part,ça semblera étrange,mais les jeunes grandissent également plus rapidement,tendant à quitter le nid bien vite,et les reproducteurs,à la fin de la saison,semblent s'être engraissés plutôt que de s'être amaigris pendant cette saison pour eux de dur labeur. Juste pour complémenter l'information,il y à également ceux qui,élèvent des canaris de couleur et écartant l'oeuf dur (pour conjurer le danger de dorer leur couleur),élèvent seulement avec couscous et graines germées ou simplement ramollies. C'est sans aucun problème!!! Ce n'est pas le couscous à être pauvre en protéines (la teneur en protéine est de 11%),ce sont les pâtées d'aujourd'hui qui sont trop riches. Et de toute façon,en ajoutant oeuf et lait avec des graines germées,la teneur protéique dépasse ensuite les 15%. Je l'ai déjà écrit et je le répète : jamais aucune firme du secteur,surtout si elle produit des pâtées,et on peut le comprendre,ne vous en parlera jamais,chers collègues,de ce produit. Et encore moins elle le fera de manière objective et passionnée. Et cela pour des raisons évidentes,la même chose vaut pour nos négociant. Le couscous est la nouveauté dans l'alimentation des canaris dans ces premières années du second millénaire. Peut être quelque éleveur se demandera pourquoi on parle seulement maintenant de cet aliment dans notre milieu ? La réponse est simple : jusqu'à y à quelques années,il y avait peu de demande de ce produit et les sociétés productrices ne voyaient pas le "business" comme ont dit. A présent,avec la forte affluence en Italie et en Europe,de citadins extra communautaires,provenant surtout de l'Afrique du nord,(le couscous est le plat typique du Maghreb qui comprend Maroc,Tunisie,Algérie),cette spécialité est devenue très demandée également dans notre pays,comme dans le reste de l'Europe. Et elle le sera d'autant plus dans les années à venir. De là,la décision des sociétés productrices de se lancer sur le marché européen de manière décisive et continue. Il faut d'autre part considérer que,pendant que le coût des pâtées,avec les années,est grimpé aux cieux,le prix des canaris,tel qu'il est de rigueur en commerce,est resté presque inchangé !!! J'apporte un exemple concret : En 1998,les commerçants payaient,à nous éleveurs,les frisés du nord entre 16000 et 17000 lires. Les fiorinos (canaris de postures) entre 13000 et 14000 lires. Après quelques 10 ans,ces prix sont restés quasiment inchangés.Mais la même chose on ne peut pas le dire pour les produits nécessaires pour élever les canaris,qui,en dix ans,ont augmenté d'un bon 30 à 35% Voilà expliquée la nécessité pour nous éleveurs de courir aux abris en expérimentant des produits alternatifs que le marché entre-temps à mis à notre disposition. Et dans le couscous,je dois dire,que nous avons trouvé une aide très valide. Le problème,comme vous savez,si nous voulons en effet contenir les grandes dépenses que coûte la conduite d'un élevage est de chercher à limiter le plus possible l'usage de la pâtée sèche durant l'élevage Egalement parce que l'alpiste ou le mélange de graines ne peut pas être substitué. Il est clair,et entendons-nous de suite,que la dite pâtée sèche nous ne pourrons jamais faire sans. Surtout pendant certaines périodes de l'année. Mais déjà ne pas l'utiliser pendant la période de majeure consommation permet d'abattre l'usage de celle-ci sur base annuelle,d'un bon 70 à 80 % - Ce n'est pas peu !!! J'entrevois en 2008 et dans les années à venir,une forte croissance de l'usage de couscous dans notre secteur. Même si,entretemps,et de manière intéressée,quelqu'un écrira pour délégitimiser ce produit,y trouver la petite bête ou pour mettre en évidence une quelconque carence nutritive. En constatant à cet effet quelque professeur du secteur comme dans le passé,pour l'exact opposé,cela s'est passé pour les aliments extrudés (sauf erreur de ma part),mais ce seront des toujours palliatifs. L'avènement de ce produit dans l'alimentation du canari sera toujours solliciter de plus en plus même s'il créera plus d'un mécontent parmi les sociétés du secteur et nos négociants. Ce n'est pas seulement en Italie que cet aliment prend pied mais dans toutes les nations à l'avant-garde dans l'élevage des oiseaux. Et ce n'est sûrement pas anodin. Mais retournons à nous : le couscous est optimal également pour administrer les vitamines ou médicaments comme le Fungilin qui,si nous l'administrons via l'eau de boisson,en peu de temps n'est plus absorbé en bonne dose vu qu'il se dépose sur le fond ses abreuvoirs,du fait que cet antimycotique n'est pas hydrosoluble. Mais s'il est ajouté au couscous,au travers de la solution aqueuse,il s'amalgame fort bien et est absorbé de suite. Dans ce cas,la préparation est recommandée dans de l'eau froide. Pareillement prévaut pour administrer d'éventuelles vitamines. C'est plus pratique,fonctionnel et d'autre part,ainsi faisant,nous sommes certains que rien ne sera jeté comme il advient au contraire lorsque nous le mettons dans les abreuvoirs. Ce n'est pas tout : j'ai des échos d'éleveurs de canaris qui l'utilisent également pendant la période de la mue,en lieu et place de la pâtée humide,pour colorer leurs oiseaux. Ils procèdent comme suit : ils dissolvent le colorant dans l'eau qu'ils utilisent pour préparer le couscous. Le même procédé,nous l'avons vu,pour administrer les vitamines ou le Fungilin. Evidemment,le problème réside surtout dans les quantités à utiliser et de nombreux collègues se sont réglés en utilisant un rapport de 1kg = 1 L de colorant. Il existe dans le commerce des colorants hydrosolubles mais même si on ne devait pas en trouver,les traditionnels vont bien aussi. En fait,les colorants non hydrosolubles vont bien aussi parce qu'il a été vérifié que mélangés dans de l'eau très chaude ils se dissolvent de la même façon. Vu la quantité d'eau et de colorant à utiliser pour ramollir le coucous est minime,on conseille de préparer un demi-litre,de le mettre dans une bouteille foncée,de la conserver au réfrigérateur et de l'utiliser au fur et à mesure du besoin. De prime abord,ça à l'air d'un système lent et compliqué mais il suffit de l'essayer pour se rendre compte de la simplicité et du gain d'argent que ce procédé comporte. Avec quatre ou cinq litres de préparation,on réussit à colorer des centaines d'oiseaux. Vice versa,quand on met le colorant dans la pâtée humide,le coût augmente sensiblement et,de plus,la pâtée n'est pas consommée dans son intégralité. Le succès d'un produit,à la fin,au dessus de la publicité,du marketing,du packaging,au dessus de tout,le succès de n'importe quel produit,c'est le marché et les consommateurs qui le font. Si le produit est bon,si le rapport qualité-prix est avantageux,la nouvelle se répand à la vitesse d'un éclair. Beaucoup de publicité ne sert à rien. Egalement parce que la meilleure est celle qui est faite,passionnément,par les éleveurs. Il suffit de se rappeler ce qu'il est advenu du Périlla qui dans les années 80' n'était connue de personne et qui est devenue en quelques années une des graines les plus diffuses dans les élevages. Ce qui est en train de devenir avec le couscous et sous les yeux de tous provoqué par une parole continue et continuelle S'il n'en est pas ainsi,et donc qu'un produit ne se fond pas dans le marché pour un ou plusieurs motifs,il y a la volonté de le lancer,faire de la publicité,des promotions,réductions et tant d'autres... Plus personne n'a ses tranches de salami sous les yeux. Des aliments extrudés,pour dire,on en parle depuis des années. Des pages et des pages de publicités,des interviews et prises de position de professeurs,nutritionnistes,ou célèbres éleveurs étrangers "testimonial" de quelque société du secteur. Ils n'ont jamais marché ou du moins pour ce qui est de l'élevage des oiseaux indigènes,exotiques et surtout des canaris. Quelque chose aura sa signification. Le couscous,jusqu'à il y à deux-trois ans,personne ne le connaissait comme valide aliment pour notre nécessité. Jamais personne,dans les revues du secteur n'en a parlé . Jamais personne n'en a fait la publicité. Aucun article de la part de professeurs nutritionniste,ou célèbres éleveurs qui parlent de cet aliment pour usage ornithologique. Mais,d'autant que ce produit est très valide,la voie,dans notre secteur,s'est diffusée pareillement à la vitesse de la lumière. Parlant de couscous,j'ai utilisé toutes les paroles à l'indicatif,car avant d'écrire cet article,moi et mon frère l'avons utilisé pendant des années,et nous l'utilisons encore aujourd'hui en élevage. Et je n'ai pas utilisé de verbes au conditionnel pour la simple raison que tout ce que j'ai écrit a déjà été testé et prouvé. Cela,je veux que les lecteurs le sachent. Ce 10 février 2007. * Valeur énergétique : 338 kcal - 1433 kj * Protéines : 11,0 g * Hydrates de carbone : 70,0 g * Graisses ( lipides ) : 1,5 g Valendino Giuseppe - Via Matteotti,21 à 20050 Triuggio (MI) Italie. Stam : CP09 - Téléphone : (0039) (0) 0362 915516 Email : giuseppe.valendino@rivoltagroup.com Copyright © |
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14/07/2013, 11h54
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GRAINES TREMPEES - CUITES - GERMEES (Texte : Maloute45) - Copyright ©.
On utilise souvent des graines trempées,germées où cuites pour l'alimentation de nos oiseaux. Pour autant que l'on respecte les précautions nécessaires pendant leur préparation,ils constituent un élément savoureux et nutritif de la ration quotidienne,nous dirons que c'est un supplèment idéal. Quelles graines utiliser ? Il est primordial que les graines et semences utilisées soient de très bonne qualité. Pour une alimentation équilibrée,il est important d'utiliser un mélange composé de différentes sortes de graines. Le plus simple étant d'utiliser des mélanges prêts à l'emploi,spécifiquement conçus pour servir d'aliments à tremper,germer où à cuire. Les graines de Lin* ne conviennent pas : pendant le trempage,ces graines libèrent des mucosités qui forment une masse visqueuse et collante qui les rendent impropres à l'alimentation des oiseaux. On évitera également le trempage des graines de Tournesol,qui sont très facilement la cible d'infections fongiques. Pendant la germination,les moisissures déjà présentes peuvent se multiplier très rapidement et produire des toxines. Quelles transformations se produisent pendant le trempage ? Des processus biologiques influençant favorablement la composition des graines se mettent en place sous l'influence de l'eau,de la chaleur et de l'oxygène. - Le trempage rend les graines plus moelleuse de telle sorte que les oiseaux en consomment très volontiers. - Elles sont aussi plus facile à décortiquer. L'alimentation par un mélange de graines trempées exerce une influence positive sur le processus de la reproduction et amèliore la condition physique pour la couvaison. Quelles sont les modifications entraînées par la germination? Au cours de la germination,l'enzyme d'amylase transforme l'amidon en sucres simples plus digestes. La teneur élevée en sucres explique pourquoi les semences germées sont tellement appréciées par la gent ailée. La germination améliore aussi la qualité des protéines,par la dégradation des chaînes protéiques complexes en acides aminés libres,et par l'augmentation des teneurs en acides aminés essentiels (par ex : lysine). Les graisses sont partiellement transformées en acides gras libres. De plus,les semences germées sont riches en vitamines A,B et E (fertilité),en Calcium,en Potasse,en Magnésie et en Oligo-éléments : Fer,Sélénium et Zinc. Toutes ces modifications,ainsi que l'augmentation de la teneur en humidité, rendent ces semences plus digestes. Cette modification est surtout profitable aux jeunes et aux oiseaux malades. Toutefois,la haute teneur en sucres et le taux d'humidité élevé rendent les aliments trempés où germés très sensibles au développement de Champignons,de Moisissures et de Bactéries. On recommande donc une hygiène très stricte comprenant principalement le rinçage régulier des graines et la désinfection des récipients utilisés. Quelle transformation se produit-il pendant la cuisson ? * Décomposition de l'Amidon pendant la cuisson et presque entièrement transformés en sucres facilement digestibles sous l'effet de la température et de l'eau. * Destruction des facteurs anti-nutitionnels de nombreuses plantes (surtout les légumineuses ),notamment des inhibiteurs de Trypsine. Ces composants indésirables rendent les protéines moins accessibles. La cuisson désactive ces facteurs anti-nutritionnels et les protéines deviennent plus digestes. * Stérilisation microbienne : la cuisson tue tous les germes présents dans les aliments (Bactéries,Champignons,Moisissures). Le risque d'infections microbiennes contractées par l'alimentation (un des risques les plus importants lors du trempage où de la germination des graines) en est très fortement limitée. * Vitamines : le seul désavantage de l'alimentation cuite est la perte massive de celles-çi pendant la cuisson. Tout éleveur d'oiseaux bien informé sait bien que la dose de vitamines qu'apportent les mélanges de graines est insuffisante et qu'il doit donc toujours donner un complément de vitamines. On peut préparer une quantité de nourriture pour plusieurs jours,la congeler et décongeler chaque jour la portion nécessaire. Graines trempées : Bien rincer les graines à l'eau courante - Les laisser tremper de 12 à 24 h à température ambiante,changer l'eau plusieurs fois de préférence - Rincer abondamment à l'eau courante froide - Laisser égoutter encore 1 à 3 heures éventuellement - Servir nature où mélangées à de la pâtée. Graines cuites : Bien rincer les graines à l'eau courante - les laisser tremper de 1 à 3 heures à température ambiante - Rincer à l'eau courante froide - Faire cuire pendant 3O à 4O minutes (cuisson modérée) - Laisser les graines refroidir et égoutter - Servir nature où mélangées à la pâtée aux oeufs ou aux fruits. Graines germées : Bien rincer les graines à l'eau courante -Les laisser tremper de 6 à 24 h à température ambiante,changer l'eau plusieurs fois de préférence - Rincer abondamment à l'eau courante froide - Les laisser germer dans une passoire pendant 24 à 48 h à température ambiante - Humidifier régulièrement ou couvrir d'un linge humide (il existe aussi dans le commerce un germoir) Rincer abondamment à l'eau courante froide - Et comme dans les deux autres,servir nature où mélangées avec de la pâtée. Pour information =Composition de graines à germer pour canaris (Versele - laga - Prestige) : Navette : 52% - Niger : 15% - Katjang idjoe : 15 % - Quinoa : 6% - Froment : 2 % - Dari : 3% - Milo : 3% - Cardy : 2% - Semences de Laitue : 2% Copyright © |
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26/07/2013, 11h58
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Historique Du Fife Fancy
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HISTORIQUE DU FIFE FANCY LE FIFE FANCY est un canari de posture Britannique des plus élevés et des plus populaires, pour ses qualités : très prolifique, robuste, son prix reste raisonnable. Son pays d’origine est l’Ecosse (dans le comté de Fife). C’est une race récente dont le standard fut établi en 1957 par Walter LUMSDEN, considéré comme le créateur du Fife Fancy. Le Fife n’a pas toujours eut bonne presse : longtemps considéré comme le border raté. A la base, des éleveurs s’opposèrent au nouveau standard du border, qui se voulait plus grand, plus rond, en élevant des Borders petits et ronds. Baptisé le Border miniature, le Fife, fut obtenu par le croisement de Borders, plus petits (montrant une forme plus ronde), par des éleveurs comme Walter LUMSDEN et Gerry WOLFENDALE qui estimaient que le Border devenait trop grand. Le Fife Fancy est de caractère vif, joyeux et docile. C’est en 1973 qu’ explosa sa popularité, un FIFE de Lumsden fut couronné comme étant le meilleur canari du show, en remportant le « best canary in show devant toutes les autres races de postures. En 1975, le Fife Fancy eut droit à sa propre classe, et enfin reconnu comme race à part entière Le Fife fancy vert : - La couleur idéale est un vert « herbe grasse », avec un peu de couleur bronze, avec des impressions claires et distinctes sur les flancs et le dos, les jambes et le bec seront assortis à celles-ci. Le Fife fancy cinnamon : - Le Fife cinnamon est un bel oiseau. C'est un sujet vert sans le colorant noir, parfois désigné sous le nom de couleur « cuivre poli ». Le cinnamon est produit à partir des parents portant la coloration génétique récessive, c'est la seule couleur qui peut être exactement prévue en construisant un programme d'élevage. Le Fife fancy fond blanc : - Tous les oiseaux ont une couleur de base, indépendamment des autres couleurs. Les blancs ne sont pas des albinos, (c'est un manque total de mélanine), la couleur de base jaune normale est génétiquement supprimée, produisant ainsi un oiseau blanc. La couleur blanche n’est pas liée au sexe. Un Fife blanc ou une femelle blanche produirait des individus 50% normaux et 50% d’individus blancs de l'un ou l'autre sexe. ACCOUPLEMENTS Les éleveurs avertis pourront essayer les accouplements suivants: 1,- Intensif (plumes courtes) x Schimmel (plumes longues), 2,- Intensif (plumes moyennes) x Schimmel (plumes courtes), 3,- Intensif (plumes moyennes) x Schimmel (plumes moyennes), 4,- Intensif (plumes longues) x Schimmel (plumes courtes), N'accouplez que des sujets avec de belles rondeurs et de bonnes couleurs bien soutenues. Dans le cas contraire vous allez doubler les défauts. Il faut toujours accoupler des Fifes dont les avantages compenserons les défauts de l'autre partenaire. Il faut savoir que le Mâle transmet 90% de son comportement, de sa qualité de couleur et de son plumage. La Femelle transmet pour sa part le type de sa tête et de sa constitution générale. Dernière modification par FREDDIE ; 26/07/2013 à 12h11. |
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26/07/2013, 12h18
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bonjour Freddie,
merci encore pour toutes ces infos, je trouve le fife fancy très attirant, tout rond, il a l'air vraiment mignon et pas difficile à elever, je pense que d'ici quelques temps c'est vers cette race que je me dirigerai. |
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28/07/2013, 17h44
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Les principaux défauts du Raza espagnol
20111500006%20Posture%20Canary%20-%20Raza%20Espagnol.jpgimagesCAVJ1TKF.jpg20111500008%20Posture%20Canary%20-%20Raza%20Espagnol.jpg Défauts de la tête : Trop lourde, disproportionnée par rapport au corps. Bec trop grand. Traits oculaires trop importants derrière les yeux par manque de plumes. Défauts du cou : Manque de finesse du cou et non trop court, en donnant l'impression que la tête sort directement du corps. Celui-ci ne doit pas être long, mais court, fin et dégagé du corps. Défauts du corps : Attention à la définition de forme cylindrique, car nous rencontrons des cylindres de toutes dimensions et le raza doit être par définition fin et étroit donc un cylindre de faible dimension. Corps trop volumineux. Un excès quant à la largeur du dos et des épaules, ce qui constitue un des défauts les plus fréquents. Une poitrine trop large ou une poitrine lourde est aussi un des défauts les plus fréquents. Le Raza doit être fin, étroit, de forme cylindrique et sans arrondi. Défauts des ailes : Ailes tombantes , croisées ou détachées du corps. Défauts de la queue : Ne se terminant pas en queue de poisson, trop large ou ouverte. Abîmée, cassée, pas à longueur etc.. Défauts des jambes : Une longueur excessive des tarses est un des défauts les plus fréquents, ainsi que les cuisses visibles ou des jambes excessivement longues et lourdes. Défauts de position : Pas agile, inerte, trop vertical, la queue qui passe sous le perchoir à la façon du Hoso. Excessivement tranquille, étant immobile sur le perchoir ou excessivement nerveux. ( Papillonnant, s'accrochant trop souvent aux barreaux de la cage, se mirant etc… ) Lors du jugement il ne suffit pas de l'observer, mais il faut également le solliciter et le faire travailler pour qu'il vous montre toute ses qualités. Défauts de condition : Hors condition, apathique, sale, déformations quelconques, couleur terne. Défauts de taille : De plus grand que 11,5cm a excessivement grand. Au delà de 11,5 cm nous devons pénaliser selon l'importance du défaut, car plus de tolérance jusqu'à 12,5 cm comme autrefois. Il est faut de prétendre que le raza actuel est trop petit, celui-ci n'est-il pas un canari miniature. Défauts du plumage : Excessivement intensif ou long, des traits oculaires excessif. Un plumage dur et cassant ( façon Gibber-Italicus ), ou un plumage trop ouvert. Dernière modification par FREDDIE ; 28/07/2013 à 18h05. |
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28/07/2013, 18h49
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merci pour tous c'est renseignement ca va m’être utile pour mes future achat
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28/07/2013, 19h36
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Lu pour vous pour information dans "Cage & Aviary " - Auteur John C SCOTT - Copyright ©
BT178269_2.jpg HISTORIQUE DU LANCASHIRE COPY ET PLAINHEAD lancashire.jpg John C. SCOTT nous décrit l'histoire chaotique du Lancashire et du challenge à relever par les amateurs de cette belle vieille race. Le Lancashire huppé existe en Grande-Bretagne depuis la moitié du 18éme siècle. La huppe à toujours apparue circulaire. Nous ne connaissons pas d'autres détails sur l'apparition de cette mutation ni les moyens utilisés par les éleveurs de l'époque pour développer cette fantaisie (Canari de Posture). Au premier show national de 1857 à Nottingham, les quelques canaris enregistrés étaient des Bossus Belges, des Lizards et des London Fancy. Le Bossu Belge a été perfectionné par des clubs dans son pays d'origine. De même, le Lizard et le London ont été reconnus, en tant qu'oiseaux d'exposition, pour un certain nombre d'années et ont été promus par des clubs spécialisés de la région de la capitale : Londres. C'est étrange que les canaris huppés soient absents à Nottingham, parce que seulement deux ans plus tard, à Crystal Palace, en plus des trois variétés citées plus haut, quelques huppés apparaissent. Ils sont décrits comme possédant une touffe de plumes sur la tête. Cependant, être capable d'exposer une variété d'oiseaux suppose que des standards représentatifs ont été établis. Cela étant, il est raisonnable de penser qu'il y a eu des éleveurs qui essayaient d'atteindre ces standards pendant et un peu avant 1850. En ce temps-là, le Norwich faisait partie des canaris de taille moyenne, primé plus souvent pour la qualité de plumage et de couleur que pour le type. Il y avaient deux types : le « tête lisse » et le « huppé ». Mais il apparaît qu'un autre type de canari huppé, de plus grande taille, existait également depuis un certain temps. C'est le Lancashire qui est repris dans l'ouvrage de 1876: The Book of Canaries and Cage Birds écrit par W. A. BLAKSTON. L’auteur parle de la situation principale de l'élevage qui se trouvait dans la ville de Manchester ainsi que dans ses faubourgs. Dans cette région, ce canari y est exposé depuis environ une quarantaine d'années. La description qui suit, de BLAKSTON, donne les variétés pour mettre en valeur tous les plumages que les éleveurs modernes essayent d'améliorer. En face de cet oiseau - le Lancashire - , on reconnaît le géant de la famille, doté d'une forte tête, bien pleine, d’une grande huppe, des épaules peu développées. La longueur, des proportions massives, montrant une impression de puissance, une position fière et droite, qui sont les traits caractéristiques de cet oiseau. BLAKSTON établit que la huppe diffère, en grandeur et en forme, par rapport aux Crests. C'est ainsi que sur le devant de la huppe, les plumes viennent d'un point central vers le front de l'oiseau et derrière, la huppe se confond avec le plumage de la tête et de la nuque. En fait, on se trouve devant une huppe en demi-cercle. D'ailleurs, les amateurs parlent, plus précisément, de la forme en fer à cheval. Cette différence est la vraie caractéristique du Lancashire huppé, (« Coppy » en anglais). En 1860, le Lancashire était bien placé pour devenir populaire parmi les amateurs de canaris, mais il n'en a rien été. La coloration, par la nourriture, en a été certainement la cause. Aux alentours de 1873, l’utilisation de poivron rouge donnait une teinte orange à ces oiseaux. C'est à cette époque que survient le besoin, pour les éleveurs de Norwichs, de profiter de cet oiseau grand et fort pour améliorer leurs souches de canaris. La taille, la texture du plumage, et de plus larges têtes, vont apporter aux Norwichs ce qu'il leur manque. En ce qui concerne les éleveurs de Crest, ceux-ci vont se jeter littéralement sur les Lancashires huppés pour améliorer leurs sujets. On parlera alors de « Crest-mania » et cette dernière dura un peu plus de trente années. Les meilleurs huppés des souches de Lancashires partaient ainsi n'importe où, et ce fut catastrophique pour la race. Les « plainhead » (ou non huppés) étaient achetés par une autre catégorie d'éleveurs pour créer ce qu'on allait appeler le Yorkshire. Finalement, le Lancashire devint une variété minoritaire dans le monde du canari. Son sort était lié à celui du Lizard jusqu'à la seconde guerre mondiale, puisque le club qui existait alors s'occupait des deux races. Le dernier rapport connu mentionne que, en 1938, à une exposition de Manchester CBS, un Lancashire huppé gagnant, grâce à sa prestance, une grande huppe en forme de fer à cheval, une excellente longueur et un splendide plumage. En plainhead, l'oiseau possédait un plumage intensif et une splendide tête. A la fin de la guerre, l'association Lizard-Lancashire a disparu. Si le club de Lizard est rapidement reformé, il n'en est rien en ce qui concerne le Lancashire. Occasionnellement, on voit apparaître quelques exemplaires au National dans les variétés diverses. Mais il faut attendre les années soixante pour que le bien connu Terry DODWELL relève le challenge. En fait, cette décision coïncide avec la création de l'Old Varieties Canary Association qui, comme son nom l'indique, va s'occuper de relancer l'intérêt pour les anciennes races. En croisant de grands Yorkshires, bien emplumés avec des canaris Crested, et en pratiquant une sévère sélection, le vieux Lancashire allait renaître après 4 à 5 générations. Le plus difficile à obtenir reste cette curieuse huppe en forme de fer à cheval. Les Lancashires à exposer ont toujours été élevés en intensif et en schimmel dans la couleur jaune. La huppe peut être grizzle (parsemée de plumettes noires) ou être complètement gris - Copyright © Dernière modification par FREDDIE ; 28/07/2013 à 19h54. |
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29/07/2013, 08h11
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Si je peux me permettre Freddie  Photo d'une jeune femelle Cinnamon de l'année en mûe. |
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29/07/2013, 08h16
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belle petite Christophe
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29/07/2013, 09h16
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Bonjour et merci Christophe pour le partage, la photo est à présent dans l'article.
Amicalement. |
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29/07/2013, 13h09
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Bien le bonjour et Merci Freddie,
Souvent il est demander des photos de Gloster de différente mutations. Bonjour également à Léon. |
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29/07/2013, 14h45
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Bonjour Christophe
Je suis "preneuse" de toutes les photos que tu veux bien me soumettre.  Cela ne pourras qu'enrichir les textes de léon sur les glosters. |
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29/07/2013, 14h49
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