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02/12/2015, 15h50 | (1) | |||||||||||
Raspberry and Plum
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Michel, l'habitant de Grigny, roi des canaris
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MICHEL, L'HABITANT DE GRIGNY, ROI DES CANARIS 3530561_c32d03ec-86e5-11e3-afa8-00151780182c_545x460_autocrop.jpg Morigny, dimanche. Michel Vila, propriétaire de 60 couples, a participé à une bourse d’échanges organisée par le Canari club d’Ile-de-France. LP/J.H. Ça piaille et ça picore dans la salle des fêtes de Morigny-Champigny. Dimanche, les amoureux des canaris s’y sont donné rendez-vous pour la première bourse d’échanges organisée par le Canari club d’Ile-de-France. Mais là où le grand public voit simplement de jolis petits oiseaux, les spécialistes parlent de croisements génétiques et de stimulation de l’hypophyse de l’œil. « Elever des canaris, c’est un sport de haut niveau », clame Jean-Claude Richard, le Président du Canari club d’Ile-de-France. Un sport dans lequel Michel Vila, champion habitant à Grigny, est tombé tout petit. « Ma grand-mère avait des canaris, j’aimais voir les petits grandir », raconte-t-il. Lors de ses études à Paris, en 1986, il tombe sur une affiche annonçant les Championnats du monde dédiés à ces frêles volatiles. « Toutes ces couleurs, c’était féerique », se souvient-il. Quelques jours plus tard, il achète son premier couple au quai de la Mégisserie à Paris, le temple de l’animalerie. « Je me suis fait avoir, comme tout le monde. Au bout de deux semaines, ils étaient morts de maladie. Il vaut mieux acheter à des éleveurs », conseille-t-il. Ces décès prématurés, pour un animal pouvant vivre jusqu’à 15 ans, ne freinent pas Michel Vila. Aujourd’hui, dans un cabanon spécialement aménagé au fond de son jardin, il abrite 60 couples. « Dans la maison, ça serait l’enfer avec le bruit » reconnaît-il. Avec ses canaris, il a été plusieurs fois champion de France, catégorie couleur. D’autres éleveurs concourent en posture — où l’on croise des canaris… frisés — ou en chant. Tous doivent répondre à des standards très précis. Il existe 350 types de couleurs officiellement référencées. Pour arriver à la perfection, Michel se fait agent matrimonial et accouple ses canaris selon leurs particularités. « Les couleurs sont des mutations que nous cultivons. A la base, le canari est vert brun. A l’état sauvage, un canari rouge se ferait vite repérer et manger », résume l’éleveur. Il enregistre 200 naissances par an, ne sélectionne que les meilleurs et vend ou donne les autres. Impossible à ce rythme de leur donner un petit nom. Les canaris sont bagués et numérotés. « Mon champion cette année, c’est 118 », confie Michel. «Une passion où on laisse des plumes» Sa passion lui prend au moins 1h30 par jour en plus de son travail. En ce moment, dans son cabanon, Michel simule déjà le printemps. « On joue sur la durée de l’éclairage pour stimuler l’hypophyse de l’œil, une glande qui déclenche la reproduction. Comme les concours ont lieu à l’automne, les oiseaux sont plus matures », souligne-t-il. Parfois, pendant les soins, ses protégés s’échappent. « Dehors, ils ne survivent pas. Un jour, j’en ai eu un qui s’est perché dans un arbre. Deux minutes après une pie le dévorait », raconte-t-il. Ce passionné d’animaux « comprend » que mettre des oiseaux en cage puisse heurter. « Ce que j’adore, c’est voir mes canaris l’été dans leur grande volière », précise-t-il. Ce qu’il adore moins, c’est faire ses comptes. « Un couple d’exception vaut 200 €, une paire de bonne qualité entre 50 € et 80 €. Je pense juste rentrer dans mes frais, pense-t-il. Les canaris, c’est une passion où on laisse des plumes. » Plus de renseignements par mail à club-ccif@orange.fr
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Si vous avez des anecdotes, des suivis d'élevage, des histoires sur les oiseaux pourquoi ne pas les partager avec nous. Amicalement vôtre |
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02/12/2015, 18h36 | (2) | |||||||||||
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Super Sympa ce Michel et qui plus est, il a de très bons oiseaux !!!
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02/12/2015, 21h06 | (3) | ||||||||
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un éleveur reconnu...et connu dans la région..
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http://pintasilgo.skyblog.com |
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